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Bungeoppang : Découvrez le gâteau poisson fourré à la pâte de haricot rouge qui fait fureur !

par Equipe Carrée

Vous êtes-vous déjà demandé comment un gâteau en forme de poisson fourré à la pâte de haricot rouge pouvait devenir une véritable obsession culinaire ? Ne cherchez plus, car dans ce billet de blog, nous allons plonger dans l’univers fascinant de Bungeoppang ! Cette délicieuse douceur d’origine coréenne a conquis les cœurs (et les estomacs) du monde entier. Découvrez pourquoi Bungeoppang est devenu un incontournable des desserts, comment il est préparé et quelle est sa signification culturelle. Préparez-vous à vous régaler et à apprendre quelques faits surprenants sur ce gâteau poisson irrésistible. Alors, attrapez votre canne à pêche et embarquez avec nous dans cette aventure culinaire !

La popularité de Bungeoppang

En Corée, le vent hivernal s’accompagne d’une tradition culinaire réconfortante et chaleureuse : le Bungeoppang. Cette gourmandise, à l’image d’un poisson souriant, est bien plus qu’une simple collation. Elle incarne un moment de plaisir partagé, une parenthèse sucrée qui se déguste au coin d’une rue animée. Sa popularité n’a cessé de grandir depuis son retour en grâce dans les années 1990, après une période de déclin post-occupation japonaise.

Au-delà de la pâte de haricot rouge traditionnelle, le Bungeoppang se pare désormais de garnitures innovantes comme le Nutella ou la crème glacée, illustrant la capacité de la Corée à marier tradition et modernité. La simplicité et la gourmandise de ce mets lui confèrent une place de choix dans le cœur des Coréens et des amateurs de street food du monde entier.

Le prix abordable du Bungeoppang, généralement moins de 80 centimes l’unité, en fait une option tentante pour les gourmets à petit budget. Cependant, dans les quartiers touristiques, le coût peut légèrement augmenter, reflétant sa renommée croissante.

Aspect Information
Origine Adaptation coréenne du Taiyaki japonais
Introduction en Corée Années 1930
Retour de popularité Années 1990
Garnitures populaires Pâte de haricot rouge, Nutella, crème glacée
Prix moyen Moins de 80 centimes
Forme Carassin (Bungeo en coréen)

L’engouement pour le Bungeoppang ne se dément pas, et sa présence dans les rues de Corée lors des frimas de l’hiver s’affirme comme une tradition indéfectible. À chaque coin de rue, les passants sont attirés par les effluves sucrées émanant des stands où la pâte dorée prend forme sous leurs yeux. Cette popularité indéniable fera l’objet d’une exploration plus poussée dans les sections suivantes, dévoilant la richesse de sa diversité et la profondeur de sa signification culturelle.

La diversité de Bungeoppang

La scène hivernale en Corée ne serait pas complète sans la présence réconfortante des stands de Bungeoppang, où le parfum alléchant de la pâte cuite flotte dans l’air froid. Mais ce qui rend le Bungeoppang vraiment spécial, c’est sa remarquable capacité à se réinventer. Si le fourrage classique à la pâte de haricot rouge demeure une étreinte chaleureuse pour le palais, les variantes modernes offrent un arc-en-ciel de saveurs qui s’alignent avec les goûts contemporains.

Les amateurs de douceur seront ravis de découvrir des Bungeoppangs fourrés à la Nutella, une touche occidentale qui fusionne avec la tradition pour une expérience gustative fusion. Pour ceux qui recherchent une touche de fraîcheur, la version farcie de glace est une contradiction délectable : une enveloppe chaude croustillante qui cède la place à un cœur froid et crémeux.

Et la diversité ne s’arrête pas là. Les mini-Bungeoppangs font fureur, parfaits pour ceux désirant une bouchée de bonheur sans l’engagement d’un gâteau complet. Ces déclinaisons témoignent de la nature évolutive de la street food coréenne, où l’innovation danse harmonieusement avec la tradition.

Cette gourmandise de rue, proposée à un prix des plus abordables – généralement autour de 80 centimes par gâteau – est un plaisir accessible qui se démocratise dans le quotidien des Coréens. De plus, le Bungeoppang s’habille d’une forme iconique, celle du carassin, ajoutant une touche de fantaisie à cette douceur hivernale. En effet, si le Taiyaki japonais emprunte la forme de la dorade, le Bungeoppang coréen préfère celle du carassin (Bungeo en coréen), un choix qui souligne une identité culturelle distincte et savoureuse.

Les stands de Bungeoppang, éparpillés dans les ruelles et les marchés de Corée, ne sont pas seulement des points de vente, mais de véritables vecteurs de joie, où chaque bouchée est un hymne à la gourmandise et à la chaleur humaine en période hivernale. Et c’est cette diversité qui assure au Bungeoppang une place de choix dans le coeur des gourmands, saison après saison.

La préparation de Bungeoppang

La création d’un Bungeoppang parfait est un art qui demande patience et précision. Comme tout artiste devant sa toile, le cuisinier débute avec l’essentiel : le moule en forme de poisson. Ce dernier, qui peut être aisément trouvé sur des sites de vente en ligne, est le secret d’un Bungeoppang réussi. Ce n’est pas seulement un ustensile de cuisine, c’est le pinceau qui dessine les contours d’une tradition gourmande coréenne.

Pour que la pâte n’adhère pas et ne gâche pas l’esthétique de nos poissons dorés, un voile d’huile d’arachide est appliqué avec délicatesse entre chaque cuisson. La patience est de mise : ouvrir le moule prématurément pourrait compromettre la forme si caractéristique du Bungeoppang, un peu comme une gaufre qui ne serait pas tout à fait prête à quitter son fer chaud.

Avec un mélange de 180g de farine, enrichi de 40g de farine de riz gluant pour ceux qui le désirent, la pâte prend vie. La farine de riz gluant, bien que facultative, est un clin d’œil à la texture moelleuse et légèrement élastique que beaucoup affectionnent. À cela, on ajoute une cuillère à café de bicarbonate de soude pour une levée optimale, un œuf pour la liaison, 240mL de lait pour la fluidité, 30g de sucre pour la douceur et une pincée de sel pour équilibrer les saveurs.

Quant à la garniture, elle est le cœur de la gourmandise. Si la traditionnelle pâte de haricot rouge reste une valeur sûre, les variantes modernes telles que le Nutella ou la confiture invitent à l’expérimentation et au plaisir renouvelé. Le soin apporté au choix de la garniture est comparable à celui d’un peintre sélectionnant ses couleurs.

Le processus de préparation est à la fois un héritage culturel et une expression de créativité. Chaque Bungeoppang est un petit chef-d’œuvre, représentatif de la joie et de la chaleur que ces délices apportent par les froides journées d’hiver. Et lorsqu’enfin, le moule est ouvert pour révéler une forme parfaite, le sentiment de réussite est aussi savoureux que le gâteau lui-même.

La signification culturelle de Bungeoppang

À la croisée des chemins entre tradition et symbole populaire, le Bungeoppang incarne une part essentielle de l’âme coréenne. Ce n’est pas seulement une question de goût ou de plaisir gustatif, c’est aussi une empreinte culturelle, un marqueur d’identité qui traverse les âges. Dans la société coréenne, quand on dit que deux personnes se ressemblent « comme des Bungeoppang », on évoque une similitude frappante, presque indiscernable. Cette expression populaire trouve son origine dans l’uniformité presque parfaite de ces gâteaux lorsqu’ils sont délicatement alignés dans les vitrines des stands de rue.

En se promenant par un froid hivernal dans les rues animées de Séoul ou de Busan, l’odeur sucrée s’échappant des stands de Bungeoppang attire les passants comme un aimant. Chaque morsure dans ces gâteaux chauds et croustillants évoque un sentiment de nostalgie et de confort, rappelant des souvenirs d’enfance ou des moments partagés entre amis. Les Coréens, tout comme les visiteurs étrangers, sont captivés par cette expérience sensorielle qui va bien au-delà de la simple dégustation.

Le Bungeoppang, avec sa forme de poisson minutieusement ciselée, est une métaphore de la vie elle-même. Le poisson, souvent associé à l’abondance et à la prospérité dans la culture asiatique, devient ici vecteur de bien-être et de chaleur humaine. Ainsi, chaque Bungeoppang n’est pas qu’un dessert, mais une bénédiction, une manière de partager un peu de bonheur dans le tumulte du quotidien.

Loin d’être figé dans le temps, le Bungeoppang évolue. Les artisans jouent avec les saveurs et les textures, remplissant leur moule emblématique de pâte de haricot rouge traditionnelle ou de garnitures plus contemporaines comme le Nutella ou la confiture. Cette évolution reflète la dynamique de la société coréenne, toujours prête à innover tout en préservant son patrimoine.

En fin de compte, ces petits gâteaux en forme de poisson sont un lien entre les générations, un pont entre le passé et le présent. Ils sont un témoignage vivant de la manière dont la Corée chérit ses traditions tout en embrassant le changement. En dégustant un Bungeoppang, on ne savoure pas seulement une pâtisserie, on participe à un rituel culturel, à une célébration de l’identité coréenne.

En conclusion

Déguster un Bungeoppang, c’est embrasser un pan de la culture coréenne, c’est ressentir la douceur et la chaleur d’une tradition qui se perpétue à travers les âges. Ce délicieux gâteau en forme de poisson, au-delà de sa saveur sucrée et de sa texture moelleuse, porte en lui l’âme d’un peuple et le souvenir de moments partagés. Préparer un Bungeoppang chez soi, c’est non seulement s’offrir un voyage gustatif de 5 minutes de préparation et 30 minutes de cuisson, mais c’est aussi participer à un rituel qui rassemble et réconforte.

Si l’envie vous prend de plonger dans cette aventure culinaire, n’oubliez pas que le secret réside dans le soin apporté à chaque étape, depuis le choix des ingrédients jusqu’à la minutie avec laquelle vous remplirez votre moule à poisson. Laissez-vous guider par les arômes, la saveur de la pâte de haricot rouge qui se mêle à la pâte dorée, pour un résultat qui ravira les papilles et réchauffera les cœurs.

Si vous avez essayé cette recette et que vous avez apprécié l’expérience, ou si vous souhaitez partager vos astuces pour un Bungeoppang parfait, laissez un commentaire. Vos retours sont précieux et contribuent à la grande histoire de ce mets traditionnel coréen. Votre voix s’ajoutera à celle des nombreux gourmands qui, avant vous, ont succombé au charme du Bungeoppang, ce gâteau poisson fourré à la pâte de haricot rouge qui continue de séduire et d’inspirer.


Q: Qu’est-ce que le Bungeoppang ?
A: Le Bungeoppang est un gâteau coréen en forme de poisson, traditionnellement fourré à la pâte de haricot rouge.

Q: Comment préparer la pâte pour le Bungeoppang ?
A: Pour préparer la pâte, vous aurez besoin de farine, de farine de riz gluant (optionnel), de bicarbonate de soude, d’un œuf, de lait, de sucre et de sel.

Q: Peut-on remplacer la pâte de haricot rouge dans le Bungeoppang ?
A: Oui, la pâte de haricot rouge peut être remplacée par du Nutella ou de la confiture selon vos préférences.

Q: Quelles sont les différentes versions du Bungeoppang ?
A: Outre la version traditionnelle fourrée à la pâte de haricot rouge, il existe des Bungeoppang fourrés au Nutella, à la glace et même en version mini.

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