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La taxidermie : Techniques et histoire de l’art de naturaliser les animaux

par Camille Dulac mai 9, 2025
par Camille Dulac mai 9, 2025
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Comment se fait la taxidermie ? : L’art fascinant de donner une seconde vie (immobile) aux animaux

Ah, la taxidermie ! Ce mot qui évoque à la fois les musées poussiéreux, les cabinets de curiosités et, soyons honnêtes, un petit quelque chose de… macabre. Vous vous êtes déjà demandé comment on transforme un animal décédé en une œuvre d’art – ou du moins, en une pièce de musée qui ne sent pas (trop) la naphtaline ? Accrochez-vous, car on va plonger ensemble dans les entrailles (euh, pardon, pas d’entrailles, justement !) de cet artisanat fascinant. Alors, comment se fait la taxidermie ? Eh bien, c’est un mélange étonnant de sculpture, de couture, de chimie (un peu), et surtout, d’une patience d’ange (ou de taxidermiste, c’est presque pareil) !

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Mais au fait, la taxidermie, c’est quoi exactement ?

Si on veut être précis, la taxidermie, c’est l’art de donner aux animaux morts l’apparence qu’ils avaient de leur vivant. Imaginez un peu : transformer une dépouille en une réplique plus vraie que nature ! C’est un peu comme de la magie, mais sans baguette magique, juste avec des outils pointus et beaucoup de minutie. Le but ultime ? Redonner un aspect naturel à la peau de l’animal, reconstituer son anatomie pour qu’il ait l’air… vivant, mais sans bouger, évidemment. On parle aussi de « naturalisation », un terme un peu moins effrayant, avouons-le.

Mais pourquoi faire tout ça, me direz-vous ? Est-ce juste pour décorer le salon avec un ours qui a l’air un peu triste ? Pas du tout ! La taxidermie, c’est bien plus que ça. C’est un carrefour entre l’art et la science, un outil précieux pour l’étude, la conservation, et même… l’émerveillement ! Elle nous permet de souligner la beauté animale, de nous interroger sur la disparition des espèces, et de transmettre un message important aux générations futures. C’est un peu comme immortaliser un souvenir, mais en trois dimensions et avec des poils (ou des plumes, ou des écailles…).

Garder une trace des animaux en danger : une mission noble pour la taxidermie

Dans un monde où les espèces disparaissent à une vitesse alarmante, la taxidermie prend une dimension encore plus importante. Elle devient une sorte d’arche de Noé immobile, une mémoire tangible des animaux qui risquent de ne plus exister que dans les livres d’histoire. Imaginez : grâce à la taxidermie, on peut encore admirer un thylacine, ce fameux loup de Tasmanie disparu au XXe siècle. C’est un peu comme un fantôme du passé, mais en beaucoup plus concret.

Et puis, la taxidermie permet de rendre accessible au grand public des animaux qu’on ne verrait jamais en vrai, à moins de partir en safari (et encore). Qui n’a jamais rêvé de se tenir face à un lion, un éléphant ou un jaguar ? Grâce aux spécimens naturalisés, on peut enfin se rendre compte de leur taille réelle, de leurs formes, de leurs expressions… C’est beaucoup plus impressionnant qu’une simple photo dans un livre, croyez-moi ! Et puis, ça nous sensibilise à la splendeur et à la fragilité du monde animal. Quand on voit un spécimen naturalisé de près, on est forcément touché par sa beauté, et on comprend mieux pourquoi il est si important de protéger ces créatures magnifiques.

La taxidermie : une star de l’illustration (et pas que des livres pour enfants)

Oubliez les images plates et sans relief ! La taxidermie apporte une dimension incroyable à l’illustration. Les taxidermistes créent de véritables scènes de vie en volume, immortalisant des instants de prédation, de sommeil, ou de simples moments de la vie animale. C’est un peu comme figer le temps, mais avec un réalisme saisissant. Imaginez un diorama avec un renard bondissant sur une souris, ou un couple de canards colverts en pleine parade nuptiale. C’est tout de suite plus parlant qu’un dessin, non ?

Cette approche permet une restitution réaliste des animaux, petits et grands, et nous aide à mieux comprendre la réalité de leur vie. Se retrouver face à la matière organique d’un spécimen, observer ses volumes, ses teintes, ses spécificités… ça ne laisse jamais indifférent ! C’est une expérience sensorielle unique, qui nous connecte directement au monde animal. Et puis, soyons honnêtes, c’est quand même plus cool qu’un powerpoint ennuyeux sur la faune sauvage.

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Avant la taxidermie, il y avait… la momification ! (Oui, oui, les Égyptiens encore eux)

Si on remonte le temps, on se rend compte que l’idée de conserver les animaux morts ne date pas d’hier. Les Égyptiens, ces précurseurs en tout (sauf peut-être en plomberie moderne), étaient déjà des champions de la conservation avec la momification. Bon, d’accord, c’était surtout pour les humains, mais le principe est un peu le même : empêcher la décomposition et préserver l’apparence du corps. On peut dire que la momification est un peu l’ancêtre lointain de la taxidermie.

D’ailleurs, avant qu’on parle de « taxidermie », on utilisait le terme plus général de « naturalisation ». Le mot « taxidermie » n’est apparu qu’au début du XIXe siècle. Et avant ça, les techniques étaient un peu différentes. On utilisait des liquides à base de plantes pour conserver les spécimens, un peu comme des conserves, mais pour animaux. C’est rustique, mais ça marchait (plus ou moins).

La taxidermie : une histoire de science (et de savants un peu fous)

Dès le départ, la conservation des animaux avait un objectif scientifique. Les savants voulaient préserver les organismes pour les étudier, les décrire, les comparer. C’était un peu comme constituer une bibliothèque géante du vivant, mais avec des animaux empaillés au lieu de livres. Pour ça, ils utilisaient différentes méthodes : la mise en alcool (pour les animaux qui aiment la fête ?), la dessiccation (pour les animaux qui préfèrent le soleil ?), ou l’embaumement (pour les animaux qui ont un côté égyptien ?).

Et puis, il y a eu des innovations ! En 1750, un certain Jean-Baptiste Bécoeur, naturaliste ornithologue (un nom à coucher dehors, je sais), a eu l’idée géniale d’introduire un répulsif pour insectes : le savon arsenical. Oui, oui, de l’arsenic ! Pas très bio, mais diablement efficace pour éloigner les mites et autres bestioles qui adorent grignoter les peaux d’animaux. Ce savon magique (enfin, magique… et toxique) a révolutionné la taxidermie.

La naissance de la naturalisation : entre le XVIIe et le XVIIIe siècle, l’âge d’or des animaux empaillés

C’est entre le XVIIe et le XVIIIe siècle que la taxidermie, ou plutôt la naturalisation, a vraiment décollé. Dérivée des techniques de momification (toujours elles !), elle s’est développée comme un art à part entière. On a commencé à voir apparaître des spécimens naturalisés un peu partout, dans les cabinets de curiosités, les musées naissants, et même chez les particuliers un peu excentriques.

Mais attention, il existait déjà des exemples plus anciens ! En Italie, on peut admirer un crocodile du Nil naturalisé en… 1530 ! Et en Hollande et en Allemagne, on trouve des chevaux naturalisés datant du XVIIe siècle. Incroyable, non ? Au Muséum national d’Histoire naturelle de Paris, dans la Grande Galerie de l’Évolution, on peut encore voir des animaux naturalisés qui proviennent de l’ancien Cabinet du roi. Et clou du spectacle : le rhinocéros de Louis XV, naturalisé en 1793 ! Un véritable dinosaure de la taxidermie.

L’essor de la naturalisation au XIXe siècle : quand la taxidermie devient tendance

C’est au XIXe siècle que la naturalisation connaît un véritable boom. La pratique se répand comme une traînée de poudre, utilisée à la fois par les scientifiques et par les artistes. On naturalise pour la science, pour étudier les animaux, mais aussi pour l’art, pour montrer la beauté du corps animal. C’est un peu comme une star de cinéma, mais en version empaillée.

L’une des naturalisations les plus célèbres de cette époque est celle de l’éléphante et de la tigresse, que l’on peut toujours admirer au Muséum de Paris. Son histoire est rocambolesque : Philippe d’Orléans, enrôlé dans l’armée, tue une tigresse en Inde anglaise pour se protéger (la tigresse n’était pas très coopérative, semble-t-il). Pour rendre hommage à ce félin magnifique (et accessoirement, se donner bonne conscience), il décide de la faire naturaliser et la lègue au Muséum pour des raisons pédagogiques. Une belle histoire, non ? Même si elle finit un peu mal pour la tigresse.

Un peu d’étymologie pour briller en société (ou au moins au dîner de famille)

Le mot « taxidermie », ça sonne un peu savant, non ? En fait, ça vient du grec ancien. « Taxis » (τάξις) qui signifie « arranger », « organiser », et « derma » (δέρμα) qui veut dire « peau ». En gros, la taxidermie, c’est l’art d’arranger la peau. Logique, non ? Maintenant, vous pourrez épater la galerie en expliquant l’étymologie du mot taxidermie. Effet garanti ! (Ou pas, mais au moins, vous aurez essayé).

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D’où viennent les animaux naturalisés des musées ? (Pas du zoo du coin, rassurez-vous)

Alors, d’où viennent ces animaux qui finissent empaillés dans les musées ? Est-ce qu’on va les chercher directement au zoo après leur décès ? Non, pas vraiment. En général, les animaux que les taxidermistes préservent sont morts de causes naturelles, en liberté, dans des réserves naturelles ou dans des zoos (mais pas ceux qu’on préfère garder vivants, évidemment). Parfois, certains sont victimes de collisions avec des voitures (la route tue plus que vous ne le pensez, même les animaux), ou de braconnage (les braconniers, ces gens charmants…). Dans ces cas-là, les douanes ou l’Office français de la biodiversité récupèrent les corps.

Et puis, il y a les associations de préservation des espèces, qui font un travail formidable sur le terrain. Elles choisissent souvent de conserver les corps des animaux qu’elles trouvent dans des congélateurs (oui, des congélateurs remplis d’animaux morts, ambiance !), et proposent aux musées de les récupérer pour leur donner une seconde vie… immobile, certes, mais une vie quand même ! C’est une belle chaîne de solidarité post-mortem.

Comment naturalise-t-on un animal ? Le guide étape par étape (attention, spoilers !)

Vous êtes prêts à plonger dans le vif du sujet ? Alors, on y va ! Voici les étapes clés de la naturalisation d’un animal. Accrochez-vous, c’est un peu technique, mais promis, ça vaut le coup.

1. Conception d’un projet commun et croquis : On ne se lance pas à l’aveugle !

Avant de se lancer tête baissée (ou plutôt, tête de cerf baissée) dans la taxidermie, il faut se mettre d’accord sur ce qu’on veut faire. Les responsables de l’exposition et les taxidermistes se réunissent pour définir le projet. Quelle posture pour l’animal ? Quelle scène veut-on représenter ? C’est un peu comme un brainstorming, mais avec des animaux morts sur la table (enfin, pas encore, mais bientôt !).

Ensuite, les taxidermistes font des croquis, des petites sculptures ou des maquettes pour donner une idée de ce qui est envisageable. Ils s’inspirent de photos ou de vidéos d’observation de terrain pour étudier les scènes de vie animale, comprendre le comportement de l’espèce, et retranscrire tout ça au mieux dans leur création. C’est un travail de recherche et de préparation minutieux.

2. Dépouillage de l’animal et préservation de la peau : L’étape « déshabillage » (mais avec respect)

Une fois le projet validé, la priorité absolue, c’est d’enlever la peau de l’animal le plus vite possible après sa mort. Pourquoi ? Parce que la peau, ça se dégrade vite, et qu’il faut la préserver pour pouvoir la travailler correctement. C’est un peu comme éplucher un fruit, mais en beaucoup plus délicat et avec des outils pointus.

Une fois la peau enlevée et mise en sécurité dans un congélateur (oui, encore un congélateur !), il faut prendre des photos, faire des croquis anatomiques et prendre des mesures précises de l’animal « écorché ». Le but, c’est de ne pas perdre les repères, de pouvoir recréer un spécimen le plus réaliste possible. Les taxidermistes mesurent tout : les longueurs, les diamètres, les circonférences de chaque partie du corps. Ils prennent des photos sous tous les angles. Et parfois, ils moulent même le crâne et la dentition en résine. On ne rigole pas avec la précision !

3. Création de la maquette : Miniature pour maxi-effet

Avec toutes les mesures prises sur l’animal, le taxidermiste va créer une sculpture à l’échelle 1/10. C’est une sorte de prototype miniature, qui permet de vérifier qu’il n’y a pas eu d’erreurs de mesures, et de présenter le projet aux commanditaires pour valider la position de l’animal en 3D. C’est un peu comme une répétition générale avant le grand spectacle.

Une fois la maquette validée, on passe à la sculpture du mannequin à taille réelle. Le taxidermiste utilise des blocs de polystyrène de différentes densités pour reproduire le volume de chaque muscle, de chaque partie du corps. C’est un travail de sculpture très précis, qui demande du talent et de la patience. Il faut sculpter le mannequin comme si on sculptait l’animal lui-même.

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Et pour que le mannequin soit solide et résiste au temps, on le recouvre de fibre de verre et de résine. Ça le rigidifie et ça évite que le polystyrène ne se dilate avec les changements de température et d’humidité. On veut que notre spécimen dure le plus longtemps possible !

4. Montage de la peau sur le mannequin : L’étape « couture » (mais sans aiguille à coudre)

Attention, étape délicate ! Les taxidermistes ont très peu de temps pour monter la peau sur le mannequin. Pourquoi ? Parce que la peau sèche vite, et qu’il faut la maintenir humidifiée pour pouvoir la travailler. C’est un peu comme poser du papier peint, mais avec une peau d’animal et sans colle repositionnable.

On colle la peau sur la coque de la sculpture, et là, c’est un jeu d’épingles qui commence ! Il faut contraindre la peau à se maintenir en place, à épouser les formes du mannequin, et à sécher convenablement, sans se déformer. C’est un travail minutieux et délicat, qui demande beaucoup d’habileté et de patience.

Le séchage dure environ trois à quatre semaines, selon l’épaisseur de la peau, la température ambiante et la taille du spécimen. Pendant ce temps, il faut surveiller attentivement le processus, pour s’assurer que tout se passe bien. Et pour les yeux, on utilise des reproductions réalistes en verre. Parce qu’un animal empaillé sans yeux, c’est quand même un peu glauque.

5. Finition : La touche finale (et le maquillage !)

Le séchage a un petit effet secondaire un peu embêtant : la peau perd ses teintes et ses brillances. En gros, elle se décolore. Il faut donc la « remaquiller » pour lui redonner son aspect naturel. Les taxidermistes utilisent des peintures, des teintures, de la cire et d’autres vernis pour retoucher les parties visibles de la peau : le nez, les lèvres, les paupières, l’intérieur des oreilles, les pattes, les sabots, la crête, les nageoires, les écailles… Un vrai travail d’artiste !

Et puis, il faut retirer toutes les épingles, reboucher les petits trous qu’elles ont formés, nettoyer le spécimen, le dépoussiérer… Bref, le rendre présentable pour le public. Enfin, on le fixe sur un socle ou une branche de présentation, et hop ! Direction l’exposition ! Et voilà, vous savez maintenant comment on naturalise un animal. Facile, non ? (Bon, d’accord, peut-être pas si facile que ça).

Qu’est-ce qu’on ne peut pas naturaliser ? Les animaux récalcitrants à la taxidermie

Malheureusement, tous les animaux ne se prêtent pas à la taxidermie traditionnelle. Certains résistent, font de la résistance ! C’est le cas des animaux marins gélatineux, comme les céphalopodes (poulpes, seiches, calamars) ou les dauphins. Leur peau est trop fragile, elle ne peut pas être tannée ni cousue. Du coup, impossible d’utiliser les techniques classiques de taxidermie pour arrêter la décomposition de leur corps. C’est dommage, mais la nature est parfois taquine.

Mais pas de panique, il existe des solutions alternatives ! Pour les animaux « intaxidermisables », on peut faire une sculpture en matière synthétique qui représente le spécimen. C’est moins authentique, mais ça permet quand même de garder une trace de leur existence. Ou alors, si l’animal est petit, on peut le présenter dans un récipient rempli de liquides conservateurs. Un bocal, un aquarium, une flûte à champagne… Tout est possible, du moment que c’est hermétique. Et puis, il y a la plastination, une technique très pointue (et très chère) qui permet de remplacer l’eau et la graisse des tissus par du plastique. Mais c’est rare, réservé aux spécimens exceptionnels.

Voilà, vous savez tout (ou presque) sur la taxidermie ! Alors, la prochaine fois que vous croiserez un animal empaillé dans un musée, vous le regarderez peut-être avec un œil nouveau. Vous saurez qu’il y a derrière cette immobilité apparente un travail artisanal incroyable, un mélange de science, d’art et de patience. Et peut-être même que vous aurez envie de vous lancer dans la taxidermie vous-même ? (Non, je plaisante… enfin, à moitié !)

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