Qu’est-ce qui nous rend patraque ? Plongée hilarante dans le monde des bobos !
Ah, la grande question existentielle : qu’est-ce qui nous rend malades, finalement ? On se la pose tous, hein ? Entre deux éternuements ou une gorge qui gratte, on se demande bien quel est le fin mot de l’histoire. Accrochez-vous, on part explorer ce vaste univers des « aïe-aïe-ouille » avec un brin d’humour (parce qu’il en faut !).
Les coupables habituels : les maladies infectieuses
Imaginez une invasion de minuscules extraterrestres… Bon, en fait, ce sont juste des microbes, mais l’idée est là ! Les maladies infectieuses, c’est un peu comme une colonie de vacances pour organismes indésirables dans votre corps. Ils se multiplient et font la fête, sauf que la fête, c’est pour eux, pas pour vous.
Les super-vilains microscopiques :
- Les virus : Pensez à eux comme à des pirates informatiques en mode biologique. Ils squattent vos cellules pour se reproduire. C’est de l’info génétique enfermée dans une coquille, un peu comme un message dans une bouteille… sauf que le message, c’est « chaos et destruction » pour vos cellules !
- Les bactéries : Des mini-organismes unicellulaires avec leur propre mode d’emploi (leur ADN, quoi). La plupart sont gentilles, voire carrément utiles (celles qui vous aident à digérer, par exemple). Mais certaines sont de vraies terreurs et lâchent des toxines qui vous mettent K.O.
- Les champignons : Oui, oui, comme ceux que vous mettez dans votre omelette… sauf que certains préfèrent s’installer sur vous ou en vous. Quand ils prolifèrent un peu trop ou que des vilains champignons s’invitent par la bouche, le nez ou une coupure, c’est la cata.
- Les parasites : Des squatteurs professionnels ! Ils vivent et se reproduisent aux dépens d’autres organismes (vous, en l’occurrence). Ça va du ver solitaire (charmant !) aux protozoaires (des unicellulaires pas très sympas).
- Les prions : Alors là, on entre dans le chelou. Ce sont des protéines défectueuses qui rendent folles les autres protéines de votre corps, surtout dans le cerveau. Votre corps ne sait pas quoi en faire, ça s’accumule et… bonjour les dégâts.
Les maladies non infectieuses : la faute à pas de chance ?
Ici, pas de microbes à blâmer. C’est plus une affaire interne, un peu comme une pièce qui coince dans la machine. Ces maladies-là, on les doit à d’autres facteurs, souvent moins « visibles ».
- La génétique : Hé oui, parfois, c’est « écrit » dans vos gènes. Vous héritez d’une prédisposition à certaines maladies. C’est un peu la loterie de la vie, mais sans le jackpot (dommage !).
- Les différences anatomiques : On n’est pas tous taillés pareil, et parfois, certaines « constructions » corporelles peuvent poser problème et mener à des soucis de santé.
- Le vieillissement : Le temps qui passe… impitoyable ! Plus on vieillit, plus certaines maladies non infectieuses pointent le bout de leur nez. C’est le « prix » à payer pour accumuler les années (et les sagesse, paraît-il !).
- L’environnement : L’air qu’on respire, l’eau qu’on boit, le lieu où on vit… tout ça peut avoir un impact sur notre santé et favoriser l’apparition de maladies non infectieuses. La pollution, le stress urbain, etc., c’est pas la joie pour notre organisme.
Facteurs de risque : le club des « plus à risque »
Certains d’entre nous sont plus vulnérables que d’autres. C’est un peu injuste, mais c’est comme ça. Voici le top 5 des profils à risque (attention, ça ne veut pas dire que vous allez forcément tomber malade, hein !) :
- Système immunitaire faiblard : Si vos défenses immunitaires sont en berne, les microbes ont plus de chances de vous envahir. C’est logique, non ?
- Âge : Les bébés, les femmes enceintes et les seniors (60 ans et plus) sont plus fragiles. C’est les « âges extrêmes » de la vie, quand le corps est un peu plus délicat.
- Pas vacciné : La vaccination, c’est comme un bouclier anti-microbes. Si vous ne l’avez pas, vous êtes plus exposé aux maladies infectieuses courantes. C’est dommage, parce que les vaccins, c’est quand même super pratique !
- Personnel soignant : Infirmiers, médecins, etc., ils sont en première ligne face aux maladies. Normal, ils sont au contact des malades toute la journée. Chapeau à eux, d’ailleurs !
- Voyage dans des zones à risque : Si vous partez explorer des contrées exotiques où sévissent des maladies tropicales (malaria, dengue, Zika, etc.), vous augmentez vos chances de les ramener dans vos valises (et dans votre corps, moins sympa !).
Comment ça se propage, ces petites bestioles ?
Les maladies infectieuses, c’est comme les rumeurs, ça se répand vite ! Voici les principales voies de contamination :
- De personne à personne (toux, éternuements) : Le classique ! Quand vous toussez ou éternuez, vous projetez des micro-gouttelettes chargées de microbes. C’est le « spray buccal » version maladie.
- Contact rapproché (baiser, sexe) : Les échanges de fluides corporels, c’est un peu la voie royale pour les microbes. Baisers, câlins, relations sexuelles… prudence !
- Partage d’ustensiles : Boire dans le verre de quelqu’un, utiliser sa fourchette… c’est un peu comme embrasser quelqu’un indirectement au niveau buccal. Pas top niveau hygiène.
- Surfaces contaminées : Poignées de porte, téléphones, comptoirs… les microbes adorent se poser là. Si vous touchez une surface contaminée et que vous portez ensuite vos mains à votre bouche, nez ou yeux, bingo !
- Contact avec des matières fécales : Beurk ! Mais oui, ça arrive. Surtout si vous ne vous lavez pas bien les mains après être allé aux toilettes (et là, on ne vise personne, hein !).
- Piqûres d’insectes/morsures d’animaux : Moustiques, tiques, animaux… ils peuvent être porteurs de maladies et vous les transmettre en vous piquant ou mordant. La nature, c’est beau, mais parfois, ça pique !
- Aliments/eau contaminés : La fameuse « tourista » ! Manger ou boire des trucs pas nets, c’est le meilleur moyen de tomber malade. Attention à ce que vous mettez dans votre assiette et votre verre !
- Sol contaminé : Jardiner, c’est sympa, mais si le sol est contaminé, vous risquez de choper des infections en manipulant la terre. Gants obligatoires pour les jardiniers du dimanche !
- De la mère au fœtus : Triste réalité, une femme enceinte peut transmettre certaines maladies infectieuses à son bébé pendant la grossesse ou l’accouchement.
- Procédures médicales (transfusions, greffes) : Les transfusions sanguines, les greffes d’organes ou d’autres interventions médicales peuvent, dans de rares cas, transmettre des infections. Les protocoles sont hyper stricts pour minimiser ce risque, heureusement.
Les « bonus » qui peuvent nous rendre malades
Et ce n’est pas fini ! Il y a d’autres facteurs qui peuvent jouer un rôle dans l’apparition des maladies. Un peu comme les « options » sur une voiture, mais en moins fun.
- Prédisposition génétique : On en a parlé plus haut, mais ça mérite d’être répété. Vos gènes, ça compte !
- Facteurs environnementaux : Pollution, climat, conditions de vie… l’environnement, c’est un peu notre « deuxième peau », et ça influe sur notre santé.
- Choix de style de vie : Et là, c’est un peu notre responsabilité. Certaines habitudes sont de vraies invitations à la maladie :
- Fumer (la clope, c’est le mal !)
- Mauvaise alimentation (trop gras, trop sucré, pas assez de légumes… on connaît la chanson)
- Inactivité physique (bouger, c’est la vie !)
- Excès d’alcool (l’apéro, oui, mais avec modération !)
Voilà, vous savez (presque) tout sur ce qui nous rend malades ! Alors, la prochaine fois que vous éternuerez, vous saurez un peu mieux à qui (ou à quoi) vous en prendre. Et surtout, n’oubliez pas : l’humour, c’est aussi une bonne façon de lutter contre les bobos ! Sur ce, je vais me laver les mains… on ne sait jamais !