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Quels sont les ingrédients essentiels pour cuisiner coréen ?

par Equipe Carrée

Découvrez les secrets de la cuisine coréenne et les ingrédients essentiels qui donneront à vos plats une explosion de saveurs ! Que vous soyez un amateur de cuisine exotique ou simplement curieux de découvrir de nouvelles saveurs, cet article est fait pour vous. Nous allons explorer les ingrédients incontournables de la cuisine coréenne, tels que le doenjang, le gochujang, l’huile de sésame et bien d’autres encore. Préparez-vous à être transporté dans un voyage culinaire plein de délices et de surprises. Alors, attachez vos tabliers et préparez-vous à devenir un véritable chef coréen dans votre propre cuisine !

Les ingrédients essentiels pour cuisiner coréen

La cuisine coréenne regorge de nuances gustatives qui transforment chaque plat en une expérience culinaire mémorable. Si vous êtes prêt à vous lancer dans l’aventure de la gastronomie coréenne, équiper votre cuisine avec les bons ingrédients est la première étape cruciale. Ces composants de base sont les piliers sur lesquels repose l’authenticité des saveurs coréennes, apportant à chaque recette son caractère unique.

Voici un tableau récapitulatif des ingrédients essentiels à avoir dans votre garde-manger pour une cuisine coréenne réussie :

Ingrédient Description Usage typique
Doenjang Pâte de soja fermentée Soupes, marinades
Gochujang Pâte de piment fermentée Sauces, assaisonnements
Huile de sésame Huile au goût prononcé Assaisonnements, sautés
Gochugaru Flocons de piment rouge Kimchi, plats épicés
Sauce soja Condiment liquide salé Marinades, sauces

Enrichir votre cuisine avec ces éléments vous offrira une base solide pour explorer une multitude de recettes coréennes. Le Doenjang, avec sa profondeur umami, est un incontournable pour les soupes réconfortantes et les marinades qui imprègnent les viandes d’une richesse aromatique. Le Gochujang, quant à lui, apporte chaleur et complexité aux assaisonnements et aux sauces, essentiel pour des plats comme le bibimbap ou le dakgalbi.

L’huile de sésame est utilisée pour ses notes grillées, parfaite pour finir un plat ou pour sauter légumes et viandes. Les flocons de Gochugaru sont la clé pour réussir un kimchi authentique et pour ajouter de la couleur et du piquant à vos plats. Sans oublier la sauce soja, pilier de la cuisine coréenne, qui intervient dans presque toutes les recettes, de la marinade de bulgogi au simple assaisonnement d’une salade de légumes.

En vous assurant d’avoir ces ingrédients à portée de main, vous serez bien équipé pour vous lancer dans la préparation de délicieux plats coréens, tels que les savoureuses soupes Doenjang Jjigae ou les accompagnements pimentés qui ornent chaque table coréenne. Avec un simple saut au supermarché pour des ingrédients frais complémentaires, votre cuisine se transformera en un authentique coin de Corée.

Ces essentiels ne constituent que le début de votre voyage culinaire. Leur présence dans votre cuisine est le fondement qui vous permettra d’explorer et de maîtriser l’art de la cuisine coréenne. Prêts à être mariés à des viandes juteuses, des légumes croquants ou des riz moelleux, ces ingrédients attendent de libérer leur potentiel dans vos mains créatives.

Embrassez la richesse des saveurs coréennes et laissez ces ingrédients transformer votre cuisine en une célébration de la diversité gastronomique. Votre aventure culinaire coréenne commence ici, avec ces éléments indispensables qui ouvrent la porte à une infinité de possibilités délicieuses.

Doenjang

Au cœur de la cuisine coréenne se trouve le Doenjang, une pâte de soja fermentée qui captive par sa couleur brune et sa consistance épaisse. Imaginez-vous en train de découvrir un marché coréen traditionnel; les effluves du Doenjang qui flottent dans l’air éveillent vos sens. Sa texture inégale et son goût profondément umami sont le résultat d’un processus de fermentation ancestral, un héritage culinaire transmis de génération en génération.

En cuisine, le Doenjang joue un rôle de premier plan, se fondant dans les bouillons avec aisance, rehaussant les sauces de sa puissance aromatique et offrant aux marinades une saveur unique qui tempère l’odeur de la viande. Son caractère est si adaptatif qu’il enrichit les accompagnements sans jamais dominer totalement le palais.

Ce trésor gastronomique se conserve avec une facilité étonnante. Avant ouverture, trouvez-lui un recoin ombragé et frais, et il patientera sagement pendant plusieurs années. Une fois entamé, il continuera sa maturation dans le coin de votre réfrigérateur, fidèle au poste pendant de nombreux mois, voire jusqu’à un an. Et si, par mégarde, de la moisissure venait à apparaître, ne vous alarmez pas; tel un fromage affiné, le Doenjang reste consommable et garde toute sa saveur.

Facile à se procurer, le Doenjang est désormais à la portée de tous grâce à internet. Vous pouvez le trouver sur des sites spécialisés comme celui-ci, prêt à intégrer votre cuisine et à vous transporter dans l’univers des saveurs coréennes.

Recettes contenant du Doenjang:

  • Doenjangjjigae végétarien : Un ragoût réconfortant où le Doenjang se fond avec délice dans un bouillon riche en légumes.
  • Boeuf Doenjang-guk : Une soupe savoureuse où la pâte de soja apporte une intensité et une richesse incomparables.
  • Aubergines sautées au Doenjang : Un plat qui marie la douceur de l’aubergine et la complexité du Doenjang pour une expérience gustative mémorable.
  • Sauce Ssamjang : Un condiment épicé qui combine le Doenjang avec d’autres ingrédients pour accompagner parfaitement vos grillades.

À travers ces recettes, le Doenjang transcende son statut d’ingrédient pour devenir le cœur d’une histoire gustative, racontant les saveurs de la Corée à chaque cuillère. Préparez-vous à l’accueillir dans votre garde-manger et à le laisser révolutionner votre art culinaire.

Gochujang

Lorsque vos papilles aspirent à une aventure ardente, le Gochujang entre en scène comme le héros épicé de la cuisine coréenne. Cette pâte rougeâtre, à la texture veloutée, est un mélange vibrant de piments fermentés, de riz gluant, de soja et parfois de sucre. Sa saveur unique, qui oscille entre la douceur candide et l’assaut épicé, fait du Gochujang un incontournable pour métamorphoser une simple préparation en un plat exubérant et profond.

Le Gochujang est l’âme des marinades et un pivot central dans l’élaboration de plats coréens qui captivent les sens. De la tendre poitrine de porc Bulgogi au Bibimbap coloré, chaque plat témoigne de son influence transformative. Son utilisation va au-delà de la simple addition calorique; il s’agit d’une communion de saveurs qui élève la gastronomie coréenne à une poésie gustative.

Il est vrai que le Gochujang n’est généralement pas employé pour concocter des bouillons, mis à part dans le cas du Gochujang Jjigae, une soupe réconfortante qui réchauffe le corps et l’âme. Ce joyau culinaire est un exemple éloquent de la polyvalence du Gochujang, prouvant qu’il peut aussi bien briller dans un rôle de soutien qu’en vedette principale.

En termes de conservation, ce condiment se comporte comme un vin fin, se bonifiant avec l’âge. Avant ouverture, le Gochujang peut attendre sagement dans un recoin sombre et frais de votre garde-manger pendant plusieurs années. Une fois ouvert, il continue de préserver son intégrité gustative dans le sanctuaire de votre réfrigérateur, où il peut demeurer plusieurs mois, voire jusqu’à un an. Sa qualité ne décline pas en dangerosité, mais en intensité aromatique; le Gochujang ne devient jamais un risque pour la santé, mais peut perdre de son éclat si son goût se fait acide ou aigre.

Accessible en quelques clics, le Gochujang est une épice qui voyage aisément jusqu’à votre porte, prête à infuser votre cuisine d’une exquise chaleur coréenne. Pour les amateurs d’authenticité ou les novices de la cuisine coréenne, l’ajout de cette pâte épicée dans votre arsenal culinaire est une promesse de plats vibrants et mémorables.

Recettes contenant du Gochujang

  • Gochujang Jjigae – Un ragoût robuste qui réchauffe les soirées les plus fraîches.
  • Sauce Ssamjang – Compagne idéale pour les feuilles de laitue garnies de viandes grillées.
  • Poulet Yangnyeom – Des morceaux de poulet enrobés d’une sauce Gochujang irrésistible et croustillante.

Chaque recette est une invitation à plonger dans l’essence de la Corée, chaque bouchée une exploration de saveurs audacieuses. Le Gochujang n’est pas qu’un simple ingrédient; c’est un passeport pour un voyage culinaire sans pareil.

Huile de sésame

Si le Doenjang et le Gochujang sont les âmes parfumées de la cuisine coréenne, l’huile de sésame en est le souffle chaleureux. Cette huile, extraite avec soin de graines de sésame soigneusement sélectionnées, est une quintessence de saveurs qui trouve sa place dans l’élaboration de multiples recettes coréennes. Son arôme puissant, qui évoque les notes grillées des noix, confère une dimension gustative inégalable aux plats qui l’accueillent.

Utilisée avec parcimonie, cette huile s’invite souvent en fin de recette, juste avant de servir, pour envelopper le plat d’une dernière touche de saveur. Que ce soit dans les marinades, les sauces à tremper, les riz sautés ou les banchans (accompagnements), elle apporte ce je-ne-sais-quoi qui transforme une simple dégustation en une expérience sensorielle mémorable. Lorsqu’il s’agit de plats froids, sa présence est tout aussi essentielle, offrant une explosion de saveur à chaque bouchée.

Concernant sa conservation, avant même de rompre le sceau de sa bouteille, l’huile de sésame demande un peu d’attention. Il est conseillé de la placer à l’abri de la lumière, dans un réceptacle opaque, et de préférence dans un endroit sec de votre cuisine. Ainsi protégée, elle se conserve aisément jusqu’à sa date de péremption, voire au-delà. Une fois ouverte, l’importance de bien refermer la bouteille est cruciale. Comme une sentinelle, elle veillera alors sur la préservation des arômes de votre huile au sein de votre placard, aux côtés de vos autres huiles. Même après ouverture, elle reste fidèle à vos côtés durant plusieurs mois sans faillir à sa tâche. Toutefois, à l’instar de ses consœurs huileuses, elle peut devenir rance avec le temps. Heureusement, le goût fera office de fidèle indicateur pour juger de sa fraîcheur.

Disponible aussi bien en ligne que dans les rayons spécialisés des grandes surfaces ou des magasins bio, l’huile de sésame coréenne est accessible pour tous ceux désireux d’ajouter une touche authentiquement coréenne dans leur cuisine.

Voici quelques recettes emblématiques où l’huile de sésame joue un rôle de premier plan :

  • Gyeran Deop Bap – un bol de riz réconfortant couronné d’un œuf au plat.
  • Yachae Juk – une bouillie de légumes douce et nourrissante, parfaite pour les jours de réconfort.
  • Japchae – des nouilles de patates douces sautées avec des légumes et parfois de la viande, où l’huile de sésame lie tous les saveurs avec harmonie.

Chaque recette est une invitation à découvrir la richesse aromatique de l’huile de sésame et à l’incorporer dans l’art culinaire coréen. Un véritable voyage gustatif où chaque plat raconte une histoire, celle d’une tradition qui se perpétue à travers des ingrédients chargés d’histoire et de saveurs.

Gochugaru

Le Gochugaru, avec ses flocons de chili rouge séchés et broyés, est bien plus qu’un simple condiment dans l’univers culinaire coréen. Ce poudroiement écarlate, issu de piments spécifiquement coréens, est le cœur battant de nombreuses recettes qui font la fierté de cette gastronomie. Il ne se contente pas de relever les plats avec son piquant mesuré, mais il leur infuse également cette couleur rougeoyante si caractéristique qui éveille les sens avant même la première bouchée.

Chaque grain de Gochugaru est un microcosme de saveurs, un petit soleil épicé qui illumine des recettes telles que le flamboyant Kimchi, l’Oi Muchim avec ses concombres marinés épicés, ou encore le Sundubu Jjigae, une soupe de tofu soyeux réconfortante. En effet, sans la présence de ce piment, ces plats perdraient une partie de leur âme. C’est cette exclusivité qui fait que le Gochugaru ne peut être remplacé au risque de dénaturer l’essence même des mets qu’il assaisonne.

La conservation du Gochugaru est un jeu d’enfant. Avant ouverture, il trônera fièrement parmi vos épices, dans un recoin sec à l’abri de la chaleur. Une fois le paquet entamé, n’ayez crainte : le Gochugaru ne se gâte pas. Comme un bon vin, il pourrait tout au plus perdre de sa vigueur si mal refermé. Pour éviter cela, veillez à le sceller avec soin et peut-être même à le conserver au réfrigérateur pour en préserver la fraîcheur et l’intensité.

Et pour ceux qui souhaiteraient ajouter cette touche coréenne à leur cuisine, le Gochugaru s’invite chez vous grâce à la possibilité de l’acheter en ligne. Ainsi, nul besoin de parcourir des kilomètres pour dénicher ce trésor piquant ; quelques clics suffisent pour que la magie opère et que vos plats s’enflamment de saveurs coréennes authentiques.

Imaginez le Gochugaru tel un peintre qui, d’un geste, colore et transforme une toile blanche en un chef-d’œuvre vibrant. C’est cette métamorphose que vous invite à vivre chaque recette coréenne, sublimée par la présence de cet ingrédient indispensable.

Sauce soja

Élixir salé de la cuisine coréenne, la sauce soja est bien plus qu’un simple condiment. Elle est l’âme qui infuse la saveur umami, cette cinquième saveur essentielle qui excite les papilles avec sa profondeur et sa complexité. Imaginez la danse harmonieuse des saveurs dans des plats emblématiques coréens, et la sauce soja est la chorégraphe qui orchestre chaque mouvement avec précision.

En Corée, la sauce soja n’est pas uniforme; elle se pare de nuances, se déclinant en trois variétés distinctes : la Jin Kanjang, une version polyvalente avec son étiquette rouge reconnaissable, la Guk Kanjang pour les soupes, et la Yangjo Kanjang pour sauter. Chacune correspond à différents degrés de fermentation et s’adapte à merveille aux diverses préparations culinaires qui définissent la gastronomie coréenne.

La Jin Kanjang est celle qui mérite une place de choix dans votre garde-manger. Contrairement à sa cousine japonaise, plus robuste et intense, la sauce soja coréenne normale est un équilibre délicat, légère et subtile, conçue pour complimenter plutôt que dominer.

La conservation de ce trésor liquide est simple : avant ouverture, gardez-la au sec, à l’abri de la lumière directe. Ne vous laissez pas tromper par la date de péremption ; la sauce soja est une survivante, résistante au temps qui passe. Elle peut perdre un peu de son piquant après cette date, mais jamais sa sécurité n’est compromise.

Après ouverture, elle continue à défier le temps. Placez-la dans le placard ou le réfrigérateur, bien scellée, et elle restera fidèle à vos côtés, prête à l’emploi. Avec le temps, elle pourrait simplement s’adoucir en saveur, comme un bon vin qui s’assagit.

Que ce soit pour rehausser le Galbijjim (côtes de bœuf braisées) ou pour mariner délicatement les Yangpa Jeolim (oignons marinés), la sauce soja Jin est un allié de choix. Elle se procure aisément, que ce soit en ligne ou dans votre supermarché favori, prête à distiller son essence dans votre cuisine.

En somme, la sauce soja n’est pas qu’un ingrédient; c’est un voyage gustatif, un héritage séculaire et un indispensable de l’art culinaire coréen qui vous attend pour transformer chaque bouchée en une expérience inoubliable.

Dashida

Le Dashida est bien plus qu’une simple poudre de bouillon coréenne; c’est un secret culinaire qui transforme des plats quotidiens en créations gastronomiques. Disponible en trois variétés fascinantes – bouillon d’anchois, bouillon de fruits de mer, et bouillon de bœuf – le Dashida est une véritable baguette magique pour le palais. Le Dashida d’anchois, en particulier, est l’épine dorsale de la cuisine coréenne, offrant une base de goût robuste et authentique.

Ce trésor savoureux permet de concocter des bouillons d’une richesse incomparable en quelques instants, faisant éclore les saveurs profondes et complexes qui caractérisent les plats coréens. Pour les novices de la cuisine coréenne, le Dashida est un allié précieux : une pincée suffit pour rehausser les saveurs des préparations, qu’il s’agisse de soupes, de ragoûts ou même de marinades, avec une facilité déconcertante.

Avant de l’ouvrir, conservez votre précieux Dashida au sec et à l’abri de la chaleur, comme un trésor caché, attendant patiemment son heure. Une fois le sceau rompu, placez-le dans un conteneur hermétiquement fermé, où il continuera de préserver ses arômes. Bien qu’il ne périme pas dans le sens traditionnel du terme, le Dashida peut perdre de sa puissance gustative après la date limite de consommation indiquée, un peu comme un parfum qui s’effacerait lentement.

Plongez dans l’univers culinaire coréen en intégrant le Dashida à vos recettes et soyez le maître de l’umami chez vous. Que vous choisissiez l’Dashida à l’anchois pour une touche marine subtile ou le Dashida de bœuf pour une saveur plus corsée, chaque variante promet une odyssée gustative sans égale.

L’expérience de la cuisine coréenne serait incomplète sans cette poudre dorée. Alors que nous avons exploré les saveurs pimentées du Gochugaru et les nuances umami de la sauce soja, le Dashida nous offre une autre dimension – celle de la simplicité transformée en sophistication. N’attendez plus pour intégrer cette merveille dans votre arsenal culinaire et laissez votre créativité prendre son envol.

Miel, Sucre, Sel, Huile de cuisson

Comme un peintre maîtrisant son art avec une palette de couleurs, le cuisinier coréen utilise le miel (꿀) pour adoucir et équilibrer les nuances de ses chefs-d’œuvre culinaires. Le miel, avec sa douceur naturelle, s’infiltre subtilement dans les sauces, leur conférant une rondeur et une complexité fascinantes. Dans la danse des saveurs, il peut même prendre la place du sucre, offrant ainsi une alternative riche en arômes.

Le sucre (설탕), quant à lui, n’est pas seulement l’apanage des desserts. Dans la cuisine coréenne, il est souvent invité dans les plats salés, où il joue un rôle crucial en exaltant les goûts et en ajoutant une profondeur inattendue aux sauces épicées et aux bouillons. Qu’il soit saupoudré avec parcimonie ou utilisé plus généreusement, le sucre est la clé pour atteindre l’équilibre parfait entre les différentes saveurs.

Le sel (소금), cet humble cristal, est la pierre angulaire de la gastronomie mondiale, et la cuisine coréenne n’y fait pas exception. Il révèle et intensifie les arômes, permettant à chaque ingrédient de s’exprimer pleinement. Le sel est le gardien discret mais puissant de l’harmonie dans chaque plat.

Quant à l’huile de cuisson (기름), elle est la toile sur laquelle les ingrédients se déploient. Que ce soit l’huile de canola riche en oméga ou l’huile de tournesol légère, elles sont essentielles pour la friture ou le sauté. Ces huiles, sélectionnées pour leur neutralité, permettent aux saveurs authentiques de briller sans être masquées.

Imaginez ces éléments comme les notes de base d’une symphonie gastronomique, orchestrant l’union des saveurs dans une harmonie qui résonne en bouche. Chaque ingrédient joue sa partition, contribuant à la richesse de la cuisine coréenne, une cuisine où même le plus simple des plats peut raconter une histoire de goûts et de traditions.

Par exemple, lors de la préparation d’un Yangnyeom Chicken, le miel se marie avec le gochujang pour créer une sauce envoûtante qui enrobe délicatement le poulet frit d’une couche sucrée et épicée. C’est cette alchimie qui transforme un plat ordinaire en un voyage gustatif mémorable.

En respectant ces quatre piliers de la cuisine coréenne, chaque cuisinier peut explorer les confins de la créativité culinaire, tout en restant ancré dans les traditions qui ont fait la renommée de cette gastronomie à travers le monde.

Alcool, Ail, Oignons, Poireaux

La cuisine coréenne, riche de ses traditions et pleine de nuances, incorpore souvent de l’alcool dans ses préparations. Cet ingrédient, loin d’être anodin, apporte une complexité de goût et une profondeur aux sauces qui nappent avec grâce les viandes juteuses et les légumes croquants. Le vin blanc de cuisine, connu sous le nom de Matsul en coréen, est un substitut idéal qui embrasse cette fonction avec brio lorsque les alcools traditionnels ne sont pas à portée de main.

Quant à l’ail, ce trésor aux notes piquantes, il est véritablement le pouls de la cuisine coréenne, avec une consommation impressionnante de 8,2kg par personne et par an. Imaginez, chaque plat est une scène où l’ail joue le rôle principal, infusant chaque bouchée d’une intensité et d’un caractère inoubliables. Avoir un stock d’Maneul à votre disposition, c’est détenir la clé qui ouvre la porte à l’authenticité des saveurs coréennes.

L’oignon, humble et pourtant si essentiel, est l’un des légumes les plus chéris dans l’arsenal culinaire coréen. Sa présence est si courante qu’il serait difficile d’imaginer un plat sans le croquant et la douceur qu’apporte le Yangpa. Il est non seulement bon marché, mais aussi un champion de la conservation, permettant aux cuisiniers de toujours disposer d’un allié fiable pour enrichir leurs créations.

Enfin, les poireaux, avec leur gamme variée allant de la ciboule asiatique aux variétés plus robustes, sont une constante dans la palette des saveurs. En l’absence des variétés spécifiques comme le Buchu ou le Jjokpa, le poireau ordinaire se révèle être un substitut adéquat, capable de tisser une touche de fraîcheur dans les plats, de la soupe épicée au ragoût réconfortant.

Chaque ingrédient est un fil qui, une fois tissé avec maîtrise et passion, contribue à l’étoffe riche et colorée de la cuisine coréenne. Ces composants sont bien plus que de simples aliments; ils sont les véhicules de l’histoire, de la culture et de l’âme d’un peuple qui se transmettent à travers les générations dans chaque repas partagé.

Riz rond

Lorsque l’on évoque les merveilles de la cuisine coréenne, il est impossible de passer à côté de son compagnon de toujours : le riz rond. Cet ingrédient, humble mais essentiel, se tient au cœur de chaque table coréenne, apportant réconfort et satisfaction. Pour respecter l’authenticité des recettes, il convient de choisir avec soin le type de riz que l’on emploie.

Dans l’arsenal culinaire coréen, le riz au grain rond et petit est roi. Il est le toile de fond idéale qui absorbe et complémente les saveurs piquantes et fermentées si caractéristiques de la cuisine du pays du Matin Calme. Son appellation dans nos supermarchés, telle que « riz à risotto » ou « riz à dessert », peut prêter à confusion, mais c’est bien de lui que dépend l’harmonie d’un bon bibimbap ou la tendresse d’un gâteau de riz.

Le riz rond coréen est plus qu’un simple féculent ; il est une invitation à découvrir une culture, une histoire et des traditions millénaires. Chaque grain, lorsqu’il est cuit à la perfection, devient juteux et légèrement collant, permettant ainsi aux divers ingrédients d’un plat de se lier dans une union parfaite. Il est le liant invisible qui unifie les ingrédients, tout en valorisant leurs saveurs distinctes.

Que vous soyez novice ou expérimenté dans l’art de la cuisine coréenne, la présence du riz rond dans votre garde-manger est une promesse de plats réussis. Sa polyvalence vous invite à la créativité, que ce soit pour confectionner des mets traditionnels ou pour expérimenter de nouvelles recettes qui fusionnent la gastronomie coréenne avec les goûts de votre propre héritage culinaire.

N’oubliez pas que le choix du riz est un hommage à la subtilité et à la profondeur de la cuisine coréenne. En le sélectionnant avec soin, vous vous assurez un passeport pour un voyage gustatif authentique, où chaque bouchée raconte une histoire. Alors, laissez-vous guider par les grains ronds et plongez dans l’univers des saveurs coréennes, où tradition et modernité se rencontrent dans votre assiette.


Quels sont les ingrédients indispensables pour cuisiner coréen ?

Les ingrédients indispensables pour cuisiner coréen sont le riz rond, le doenjang (pâte de soja fermentée), le sel, l’huile de cuisson et éventuellement du vin blanc de cuisine.

Où peut-on trouver ces ingrédients ?

Vous pouvez trouver ces ingrédients au supermarché asiatique, au supermarché près de chez vous ou chez votre maraîcher.

Comment conserver ces ingrédients ?

Pour conserver ces ingrédients, il est recommandé de les stocker dans vos placards à l’abri de la lumière et de l’humidité. Le riz rond doit être conservé dans un récipient hermétique. Le doenjang peut être conservé au réfrigérateur. Le sel et l’huile de cuisson peuvent être conservés à température ambiante.

Par quoi peut-on remplacer le doenjang si on n’en trouve pas ?

Si vous ne trouvez pas de doenjang, vous pouvez le remplacer par une pâte de soja fermentée similaire ou par un mélange de miel doux toutes fleurs ou de jus de poire.

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