Mais qui diable est propriétaire d’Ottolenghi ? Plongeons dans le mystère culinaire !
Ah, Ottolenghi ! Rien que le nom évoque des images de montagnes de légumes rôtis colorés, de pâtisseries décadentes et de saveurs qui explosent en bouche. Mais derrière cette marque culinaire mondialement reconnue, qui tire les ficelles ? La réponse courte est : Ottolenghi appartient à ses fondateurs, Yotam Ottolenghi et Sami Tamimi, ainsi qu’à Noam Bar, un entrepreneur avisé qui a rejoint l’aventure. Voilà, le mystère est (en partie) éventé ! Mais restez avec moi, car l’histoire est bien plus savoureuse que ça !
Tout a commencé en 2002, dans une petite boutique de Notting Hill, à Londres. Imaginez : deux chefs talentueux, Yotam Ottolenghi et Sami Tamimi, décident de créer un endroit unique. Un mélange de traiteur, de restaurant et de boulangerie. Leur idée ? Mettre en scène leur passion dévorante pour la nourriture. Et le pari a été plus que réussi ! Dès l’ouverture, Ottolenghi est devenu le reflet de notre relation obsessionnelle avec la bonne chère. Avouons-le, on est tous un peu obsédés, non ?
Parlons un peu de ces visionnaires. Yotam Ottolenghi, le chef star que l’on ne présente plus. Son nom est synonyme de cuisine inventive, audacieuse et incroyablement savoureuse. Sami Tamimi, son complice culinaire, partage la même passion et le même talent. Ensemble, ils ont créé un empire, mais tout est parti de cette petite boutique, de cette étincelle créative. C’est un peu comme ces groupes de rock qui commencent dans un garage et finissent par remplir des stades, mais avec des falafels et des gâteaux à la place des guitares électriques.
Et puis, il y a Noam Bar. Moins connu du grand public, mais tout aussi crucial dans l’histoire d’Ottolenghi. Co-fondateur de Kung Fu Mama (un autre projet entrepreneurial), Noam a rejoint Ottolenghi en tant que co-fondateur et NED (Non-Executive Director). C’est un peu le cerveau business derrière la créativité culinaire. L’entrepreneur qui assure que les comptes soient bons pendant que Yotam et Sami créent des merveilles en cuisine. L’équilibre parfait, en somme !
Aujourd’hui, Ottolenghi, c’est une belle et grande famille. Plusieurs adresses à Londres : quatre délicieux traiteurs-restaurants (Notting Hill, Islington, Chelsea et Marylebone). Et trois restaurants à part entière : Ottolenghi Spitalfields, NOPI et ROVI. Chacun avec sa propre identité, mais tous avec la même philosophie : célébrer les légumes, utiliser des produits de qualité et oser les ingrédients un peu inhabituels. Résultat ? Une cuisine pleine de couleurs, de saveurs, d’abondance et de soleil. Même un jour de pluie à Londres, un plat Ottolenghi vous transporte instantanément sous le soleil de la Méditerranée (ou presque !).
Leur secret ? Un engagement sans faille envers le goût et la qualité. Chez Ottolenghi, on ne rigole pas avec les légumes. Ils sont les stars du spectacle, traités avec respect et sublimés par des associations de saveurs inattendues. Et puis, il y a cette générosité, cette abondance qui caractérise leur cuisine. Quand on mange Ottolenghi, on a l’impression de participer à une fête, un banquet joyeux et coloré. C’est bien plus qu’un simple repas, c’est une expérience.
Alors, la prochaine fois que vous dégusterez un plat Ottolenghi, pensez à Yotam, Sami et Noam. Pensez à cette petite boutique de Notting Hill et au chemin parcouru. Pensez à la passion, à la créativité et à l’amour de la bonne cuisine qui animent cette entreprise unique. Et surtout, savourez chaque bouchée ! Parce que finalement, c’est ça le plus important, non ? Se faire plaisir et partager des moments gourmands. Et ça, Ottolenghi l’a bien compris !
En résumé, pour répondre clairement à la question initiale : Ottolenghi est une entreprise privée, détenue par ses fondateurs clés : Yotam Ottolenghi, Sami Tamimi, et Noam Bar. Ils ont su transformer une petite idée en une marque culinaire internationale, tout en conservant l’esprit et les valeurs qui ont fait leur succès. Une belle histoire entrepreneuriale, qui nous régale les papilles au passage. Que demander de plus ? Peut-être une part de gâteau à la pistache et à la rose… Juste comme ça, pour conclure en beauté !