Qu’est-ce que l’on appelle le chateaubriand aux États-Unis ?
Alors, qu’est-ce que le chateaubriand fait de ce côté de l’Atlantique ? Ne vous inquiétez pas, on ne parle pas ici d’un steak qui a écrit de la poésie ou d’un plat concocté par un chef de renom en smoking. En fait, le chateaubriand porte quelques petits noms dans le pays de l’oncle Sam. Accrochez-vous, car le chateaubriand est aussi connu sous le nom de Center Cut Tenderloin Roast, Filet Mignon Roast, ou encore Tenderloin Roast. Oui, assez de noms pour créer un petit groupe de musiciens, mais je m’éloigne du sujet !
Un peu de contexte sur le chateaubriand
Pour ceux qui méconnaissent ce petit miracle culinaire, le chateaubriand est le cervin des viandes. Imaginez un roast qui couine en vous appelant « mange-moi ». Ce n’est pas un plat que l’on rencontre tous les jours, mais c’est le roi des roasts. Il est fondamentalement le morceau le plus tendre du faux-filet, fameux pour sa texture fine et sa jutosité. Chaque bouchée est comme un doux bisou sur vos papilles, et si quelqu’un vous dit que ce n’est pas vrai, trouvez une autre chaire à canon !
La source, la source, toujours la source !
Encrez-vous bien dans l’idée que le chateaubriand provient du grand Tenderloin, ce qui signifie « filet mignon » pour les plus poétiques d’entre vous. Il se situe dans la région la moins sollicitée du boeuf. Vous savez, cet endroit où personne ne veut faire d’exercice ? Voilà pourquoi ce morceau est aussi tendre que le cœur d’un ours en peluche. C’est un vrai trésor du Loin Primal, classé avant tout pour sa suavité.
Le secret d’un bon chateaubriand
Si vous avez eu la chance de savourer un chateaubriand, vous savez qu’il peut devenir l’événement culinaire de votre week-end. Mais tenir un véritable roast, mes amis, c’est tout un art !
Pour y parvenir, choisissez votre morceau avec soin. Un bon chateaubriand n’est pas du genre à se cacher dans les petites épiceries. Misez sur la qualité et n’hésitez pas à faire le tour des boucheries. Une fois que vous l’avez dans votre panier, il est temps de l’assaisonner. Un peu de sel, un peu de poivre… Et surtout, n’oubliez pas toujours cette petite pincée d’amour. Je ne suis pas sûr que les boulangers ajoutent de l’amour à leur pain, mais les chefs cuisiniers, eux, ont leur secret !
Un ultime moment de convivialité
Avant de passer à la cuisson, jetez un œil au cadre dans lequel vous allez le servir. N’invitez pas votre voisin grincheux. Optez plutôt pour les amis qui apprécient la bonne nourriture. En attendant, sortez votre grill, ou mieux, investissez dans un bon barbecue à charbon. Ce dernier vous permettra non seulement de devenir le « King of the Grill » mais aussi d’épater vos invités avec le meilleur chateaubriand de l’histoire.
Comment cuire le chateaubriand à la perfection ?
Voici l’astuce : Saisissez-le d’abord à feu vif. Imaginez-le dans une danse endiablée avec la chaleur, obturant toutes les délicieuses sucs. Vos amis commenceront à trouver que c’est une vraie séance d’aérobic, mais plus délicieuse. Une fois cette croûte bien dorée, abaissez la température. Ensuite, laissez-le cuire à point, entre 55 et 60 °C à cœur. Qui a dit que les roasts ne pouvaient pas avoir droit à leur petit degré de perfection ?
Ajoutez un peu de flair !
Pour l’accompagnement, un peu de légumes grillés ou de pommes de terre fondantes feront chavirer le cœur de vos convives. Ne négligez pas une petite sauce chimichurri, ou peut-être un peu de beurre persillé. Vos papilles vous remercieront !
Conclusion : Chateaubriand, ou plutôt un festin !
Vous voilà paré à faire face à tout événement gustatif qui pourrait surgir dans votre vie. Souvenez-vous de cet article lorsque vous vous retrouverez dans une épicerie, face à un joli morceau de chateaubriand dans un supermarché des États-Unis. Mais n’oubliez pas, ce beau morceau n’a pas besoin d’un nom chic pour briller dans votre assiette – il est là pour mettre des étoiles dans les yeux de ceux qui l’apprécient.
Alors, fort au nom de ce plat ! Et bon appétit !