Quelle est la différence entre les calamars et les encornets ?
Vous avez déjà entendu ce vieux débat dans les restos de fruits de mer : « C’est quoi la différence entre un calamar et un encornet ? ». Accrochez-vous à votre assiette, car on va plonger dans les entrailles des céphalopodes pour éclaircir tout ça. Spoiler alert : c’est assez simple !
Calamars et Encornets
Pour faire simple, il n’y a pas vraiment de différence. C’est un peu comme dire « croissant » et « pâtisserie » : ils partagent le même ADN. En fait, ces noms se réfèrent au même mollusque, avec quelques variations selon la taille et la région. Un calamar, tout jeune (et donc plus petit), s’appelle aussi chipiron sur la côte Basque. Et en Méditerranée, il se fait appeler supion. À ce stade, peut-être que les calamars servent juste de camouflage pour échapper aux dîners.
- Ils ont 10 bras. Oui, mesdames et messieurs, si vous pensiez qu’un calamar était un poulpe, laissez-moi vous dire que c’est faux.
- Goût légèrement iodé. Qui a dit que la mer n’avait pas de goût ?
- Squelette interne. Avec un squelette en forme de plume, ils sont des experts de l’élégance marine.
Caractéristiques de la Seiche
Si les calamars sont déjà très impressionnants, la seiche entre en scène pour dire « tututu, regardez-moi ».
- Forme allongée et ovale. Pourquoi faire simple quand on peut être stylé ?
- Elle a aussi 10 bras. D’ailleurs, on commence à se demander si ces bras ne sont pas une sorte de mode marine.
- Un gros os blanc. Pas d’inquiétude, ce n’est pas une fracture !
- Chair épaisse. Idéale pour les recettes qui ont besoin d’un peu de mâche.
- Inky Business. Elle possède une fameuse encre pour échapper à ses prédateurs, un peu comme un ninja aquatique.
Le Poulpe, ou la Pièce de Résistance
Enfin, nous avons le poulpe. C’est le VIP des céphalopodes. Imaginez : un mec avec 8 bras, ça doit impressionner lors des soirées entre amis !
- 8 bras munis de ventouses. Tout le monde aime un bon câlin, mais lui, il prend ça au sérieux.
- Goût puissant. Préparez-vous à un tsunami de saveurs !
- Bec corné. Oui, c’est son arme secrète. Il ne va pas se contenter de flotter.
Préparation des Céphalopodes
Alors, vous êtes prêt à cuisiner ces créatures des abysses ? Voici quelques conseils.
Calamar
- Commencez par retirer la tête. Oui, votre calamar appréciera cette étape !
- Enlevez les viscères, coupez les tentacules et retirez le cartilage.
Seiche
- Retirez le bec et l’os, la poche d’encre et les viscères.
- Prélevez le blanc et retirez la peau des tentacules. Tout va bien jusqu’ici ?
Poulpe
- On attaque la bête ! Coupez la tête, retournez-le et retirez son intérieur. Oh la la, de la gore-été !
- Attention à sa peau plus épaisse ! N’oubliez pas, frappez pour attendrir.
Cuisson des Céphalopodes
Trois Céphalopodes, trois méthodes de cuisson. Cela pourrait presque être le titre d’un film.
Calamar et Seiche
- Faites-les mariner, et cuisez-les brièvement à la plancha. Une cuisson courte à feu vif pour éviter le caoutchouteux.
- Sinon, on peut les mijoter dans une bonne sauce. Un vrai plat de pacha !
Poulpe
- Pour lui, vous devez le précuire. Plongez pendant 10 secondes, retirez et plongez à nouveau pour 3 fois. Oui, ça fait un peu de gymnastique.
- Ensuite, cuisez longuement à feu doux, puis squelette en avant dans votre recette. Cozy !
Pour vérifier la cuisson, piquez avec un couteau. Si ça s’enfonce facilement, félicitations, vous êtes le roi du calamari !
Conclusion
En résumé, les calamars et les encornets ? C’est la même histoire, une belle petite histoire de famille. En revanche, si vous croisez une seiche ou un poulpe, sachez que s’ils sont tous des céphalopodes, ils ont chacun leur personnalité. Allez-vous oser les cuisiner? À vos casseroles, et bon appétit !