Quel est le plat le plus cher du monde ? Accrochez-vous, ça pique un peu !
Vous vous demandez quel est le plat le plus cher du monde ? Préparez-vous une tasse de thé (pas celui à 27 000 euros quand même !) et installez-vous confortablement. La réponse pourrait bien vous laisser sur votre faim… ou pas, vu les prix !
On parle ici de sommes qui dépassent l’entendement, des montants qui feraient pâlir votre banquier et qui vous permettraient d’acheter une petite maison à la campagne. Alors, quel est ce Graal culinaire, ce sommet de la gastronomie hors de prix ? Accrochez-vous bien, la réponse pourrait vous surprendre.
En réalité, il n’y a pas un seul plat, mais plutôt une galaxie de mets hors de prix, des créations culinaires où l’or et les diamants semblent être les ingrédients phares. Oubliez les pâtes au beurre, on entre ici dans un monde où le caviar est une garniture et où la modestie n’a pas sa place.
Plongeons ensemble dans cet univers fascinant (et un peu fou) des plats les plus chers de la planète. Attachez vos ceintures, le voyage risque d’être… indigeste pour votre porte-monnaie !
Top 7 des plats qui coûtent plus cher qu’une voiture de luxe
On commence notre tour d’horizon des extravagances culinaires avec un dessert qui brille de mille feux (et pas seulement grâce à son goût).
A. Le Cupcake « Golden Phoenix » : quand le dessert se prend pour un lingot d’or
Imaginez un cupcake. Maintenant, oubliez tout ce que vous savez sur les cupcakes. Le « Golden Phoenix » est une autre dimension. Ce n’est pas juste un gâteau, c’est une œuvre d’art comestible, enfin, si on peut dire, vu le prix.
Ses ingrédients ? Des fèves de chocolat bio, de la vanille venue des îles, des fraises gorgées de soleil… et de l’or. Oui, vous avez bien lu, de l’or alimentaire 23 carats. On ne rigole pas avec le bling-bling dans ce cupcake !
Pour la modique somme de 815 euros, vous pouvez croquer dans ce petit gâteau doré. À ce prix-là, on espère au moins qu’il est livré par un messager à dos de licorne. Sérieusement, 815 euros pour un cupcake ? On peut se demander si le goût justifie vraiment le prix ou si c’est juste l’envie de manger de l’or qui titille les papilles des riches gourmands.
B. Le Thé aux excréments de panda : une tasse de thé… euh… spéciale
Accrochez-vous, on monte encore d’un cran dans l’échelle de l’extravagance. Voici le thé aux excréments de panda. Oui, vous avez bien lu, excréments de panda.
Le principe ? Les feuilles de thé sont cultivées, tenez-vous bien, dans des excréments de panda. L’idée, selon les créateurs, c’est que les pandas ne digèrent qu’une petite partie des nutriments du bambou, enrichissant ainsi leurs déjections (charmant, n’est-ce pas ?). Ces excréments servent ensuite d’engrais pour les plantations de thé. On se demande qui a eu cette idée lumineuse… et surtout, pourquoi ?
Le prix ? Accrochez-vous à votre tasse : 27 000 euros les 500 grammes. Oui, vous avez bien compté les zéros. À ce prix-là, on espère que le thé est servi par un panda en personne, avec une petite danse traditionnelle en prime. Sérieusement, qui dépense une telle somme pour du thé aux crottes de panda ? Mystère… et boule de gomme !
C. Le Kebab de luxe : quand le street food se prend pour un plat étoilé
Le kebab, ce symbole de la street food, revisité en version grand luxe. Voilà le concept du kebab à 835 euros. Oubliez la sauce blanche et les frites grasses, ici, on parle d’agneau de lait mariné au champagne. Oui, au champagne !
Et pour sublimer le tout, des feuilles d’or viennent saupoudrer ce kebab d’exception. Parce que, soyons honnêtes, un kebab sans or, c’est un peu tristounet, non ?
835 euros le kebab… À ce prix-là, on s’attend à ce qu’il soit préparé par un chef étoilé en smoking, avec une fanfare pour accompagner la dégustation. Sérieusement, qui a déjà mangé un kebab à ce prix-là ? On imagine bien un cheikh ou un oligarque russe se faire plaisir après une dure journée de… euh… de ce que font les cheikhs et les oligarques russes, justement.
D. Le « Dragon Dog » : le hot-dog qui crache du feu (dans votre porte-monnaie)
Le hot-dog, autre pilier de la street food, transformé en plat de luxe. Voici le « Dragon Dog », à 80 euros le morceau. Bon, 80 euros, comparé aux autres plats de ce classement, c’est presque une affaire. Presque.
Qu’est-ce qui justifie ce prix ? Une saucisse au bœuf de Kobé, marinée dans du cognac Louis XIII cent ans d’âge. Rien que ça ! On ajoute à cela des zestes de truffe (parce que la truffe, c’est la base du luxe, n’est-ce pas ?), du homard frais (pour la touche marine) et une sauce piquante (pour réveiller les papilles engourdies par tant de luxe).
80 euros le hot-dog… On se demande si le goût est à la hauteur du prix ou si c’est juste l’effet « j’ai mangé un hot-dog à 80 euros » qui flatte l’ego. En tout cas, à ce prix-là, on espère que le pain est fait maison par un boulanger Meilleur Ouvrier de France.
E. Le Golden Oppulence Sundae : la coupe glacée qui vous met sur la paille
La coupe glacée « Golden Oppulence Sundae », ou comment transformer un dessert d’enfant en extravagance pour adultes fortunés. 750 euros la coupe, ça commence à chiffrer, non ?
Au menu : un mélange de chocolats rares (forcément), de la crème glacée (jusque-là, tout va bien), le tout servi dans un verre en cristal (pour faire chic) avec une feuille d’or 23 carats (encore de l’or !) et une cuillère en or 18 carats (parce qu’avec de l’or, c’est toujours mieux).
750 euros la coupe glacée… À ce prix-là, on espère que la glace est faite avec du lait de licorne et que les pépites de chocolat sont en diamants. Sérieusement, qui dépense 750 euros pour une glace ? On imagine bien une star hollywoodienne en mal de sensations fortes ou un footballeur millionnaire célébrant un but important.
F. Le Martini on the Rocks : un cocktail avec un petit quelque chose en plus… un diamant !
Le « Martini on the Rocks », ou comment pimenter son apéritif avec un caillou qui brille. 7500 euros (minimum) le cocktail, ça fait cher le glaçon, non ?
L’ingrédient secret de ce Martini ? Un diamant. Oui, un vrai diamant, qui trône fièrement au fond de votre verre. La taille du diamant ? Elle dépend de votre budget. Plus vous payez, plus le diamant est gros. C’est le principe du luxe, finalement.
7500 euros le Martini… À ce prix-là, on espère que le barman est un magicien et que le diamant se transforme en bague à la fin du cocktail. Sérieusement, qui boit un Martini à ce prix-là ? On imagine bien un agent secret en mission ou un James Bond des temps modernes qui veut impressionner une James Bond girl.
G. L’Oscheriyori : le sushi qui vous ruine en un claquement de baguettes
Et on termine ce palmarès des plats les plus chers avec le roi des sushis : l’Oscheriyori. Tenez-vous bien, le prix est stratosphérique : 175 000 euros. Oui, vous avez bien lu, cent soixante-quinze mille euros. Pour des sushis.
Alors, qu’est-ce qui justifie un tel prix ? Les ingrédients ? Non, pas vraiment. Ce sont des sushis et sashimis tout à fait classiques. Le secret, c’est l’assiette. L’Oscheriyori est servi dans… une assiette cubique en or massif de 3,3 kilos. Ah, d’accord, tout s’explique !
175 000 euros l’assiette de sushis… À ce prix-là, on espère que l’assiette est livrée par un coursier en Rolls-Royce et qu’elle est assurée contre le vol. Sérieusement, qui mange des sushis à ce prix-là ? On imagine bien un collectionneur d’objets d’art qui se dit : « Tiens, si je mangeais mon déjeuner dans une œuvre d’art ? ».
Bonus : petites folies pour les gourmands fortunés
Parce que le luxe n’a pas de limite, voici quelques autres mets hors de prix pour les palais les plus exigeants (et les portefeuilles les plus garnis).
A. Le Caviar Sevruga gris classique : les œufs de poisson qui valent de l’or (bis)
Le caviar, symbole de luxe par excellence. Et le caviar Sevruga gris classique, c’est un peu le Saint Graal du caviar. Provenance : la mer Caspienne, berceau des esturgeons les plus précieux.
Le prix ? 1900 euros les 400 grammes. Oui, presque 500 euros les 100 grammes. À ce prix-là, on le déguste à la petite cuillère en argent, en fermant les yeux et en imaginant qu’on est un tsar russe.
B. La Madeline aux truffes : le chocolat qui a la truffe
La madeleine aux truffes, ou comment sublimer une gourmandise de notre enfance avec un ingrédient de luxe. Au menu : du chocolat Valhona à 70% de cacao (la base), qui enrobe une truffe du Périgord (la star).
Le prix ? 190 euros la madeleine. Oui, 190 euros la madeleine. À ce prix-là, on espère qu’elle est faite par un pâtissier étoilé et qu’elle est livrée dans une boîte en velours. Sérieusement, qui achète une madeleine à 190 euros ? On imagine bien une bourgeoise chic qui veut impressionner ses copines lors d’un goûter entre filles.
Alors, quel est le plat le plus cher du monde ? La réponse… dépend !
Vous l’aurez compris, il n’y a pas un seul plat « le plus cher du monde », mais plutôt une compétition acharnée entre les extravagances culinaires pour décrocher la palme du prix le plus exorbitant. Entre les cupcakes en or, les thés aux crottes de panda, les kebabs au champagne et les sushis en or massif, il y en a pour tous les goûts… et toutes les bourses, enfin, surtout les bourses très, très pleines.
Alors, la prochaine fois que vous vous demanderez quel est le plat le plus cher du monde, vous saurez que la réponse est : « ça dépend de ce que vous appelez cher ! ». Et surtout, que parfois, le prix n’a rien à voir avec le goût… Mais après tout, le luxe, c’est aussi ça, non ?
En attendant, on va se contenter d’un bon vieux steak-frites, c’est déjà très bien, et ça ne coûte pas le prix d’une voiture de luxe ! Bon appétit !