Quel était l’apéritif préféré de Julia Child ? La réponse pourrait vous surprendre !
Ah, Julia Child ! Rien que d’évoquer son nom, on imagine des effluves de beurre, des sauces riches et une joie de vivre contagieuse en cuisine. Mais si je vous disais que derrière cette image de grande dame de la gastronomie française aux États-Unis se cachait un faible pour un en-cas étonnamment simple ? Accrochez-vous, car la réponse à la question « Quel était l’apéritif préféré de Julia Child ? » risque de vous déconcerter autant qu’elle va vous faire sourire.
Alors, quel était donc ce péché mignon, ce petit plaisir coupable de Julia Child avant de passer à table ? Roulement de tambour… Les crackers Goldfish de Pepperidge Farm !
Oui, vous avez bien lu. Ces petits poissons crackers orange, croustillants à souhait et au bon goût de cheddar (enfin, façon cheddar américain, disons-le). Incroyable, n’est-ce pas ? On imagine Julia Child préparer des mets raffinés, des amuse-bouches dignes des plus grandes tables, et en fait, elle grignotait des Goldfish. La vie est pleine de surprises !
L’auteure Dorie Greenspan, qui a eu la chance de passer un été avec Julia Child, raconte que son breuvage de prédilection était un martini inversé – plus de vermouth que de gin, attention les palais sensibles ! – et que son grignotage favori pour accompagner ce cocktail était justement ces fameux Goldfish. Comme quoi, même les icônes de la cuisine ont leurs petits plaisirs simples et sans prétention.
Imaginez un peu la scène : des invités triés sur le volet, attendent avec impatience le festin préparé par Julia Child, et qu’est-ce qu’on leur sert en guise d’apéritif ? Des Goldfish ! On raconte même qu’elle en proposait à Thanksgiving, le summum du repas américain, en attendant que la dinde soit prête. C’est à se demander si elle ne les cachait pas dans sa poche pour en avoir toujours sous la main !
Maintenant, ne nous méprenons pas, Julia Child n’a pas bâti sa réputation sur les crackers industriels. Elle reste et restera à jamais la reine de la cuisine française pour les Américains, celle qui a démystifié des plats complexes et qui a donné envie à des générations de se lancer derrière les fourneaux. Et pour preuve, penchons-nous un peu sur ses autres préférences culinaires, histoire de se remettre les idées en place.
Au-delà des Goldfish : Un aperçu des goûts de Julia Child
Si les Goldfish étaient parfaits pour un apéritif décontracté, Julia Child avait évidemment un palais beaucoup plus vaste et sophistiqué. Parmi ses plats emblématiques, on retrouve la fameuse Reine de Saba, ce gâteau au chocolat qui aurait été le premier gâteau français qu’elle a goûté en arrivant en France. Un coup de foudre gustatif qui a changé sa vie, en quelque sorte !
Autre plat marquant de ses débuts parisiens : la sole meunière. Un plat d’une simplicité apparente – du poisson blanc cuit au beurre et au citron – mais qui, entre des mains expertes, devient un véritable chef-d’œuvre de saveurs. On imagine Julia Child savourant chaque bouchée, découvrant les subtilités de la cuisine française.
Et que dire de sa vichyssoise ? Cette soupe froide à base de poireaux et de pommes de terre, d’une simplicité enfantine dans sa composition, mais d’une richesse de goût surprenante. Julia Child la considérait presque comme un repas à part entière, tellement elle était consistante et savoureuse. Parfait pour les chaudes journées d’été, avec quelques Goldfish à côté, peut-être ?
Anecdote émouvante : la dernière chose que Julia Child a mangée avant de s’éteindre paisiblement dans son sommeil fut une soupe à l’oignon française. Un plat simple et élégant à la fois, à l’image de l’héritage qu’elle a laissé. Une boucle bouclée, en quelque sorte, avec ce symbole de la cuisine française qu’elle a tant aimée et popularisée.
Dans un registre plus gourmand, on mentionnera également la tarte briochée à la crème fraîche de Nancy Silverton, un dessert tellement bon qu’il en ferait pleurer de joie, selon les dires. Et pour les meringues, Julia Child avait une préférence pour les œufs à la neige cuits au four, une version plus technique et raffinée de ce dessert classique.
Enfin, pour la petite histoire, sachez que Julia Child était une adepte de la mayonnaise Hellmann’s, qu’elle tartinait généreusement sur son sandwich préféré : la salade de thon. Et pour le pain de ce sandwich ? Du pain blanc Pepperidge Farm, bien sûr ! On retrouve toujours ce lien avec des produits simples et accessibles, même dans ses habitudes quotidiennes.
Les petits secrets de Julia : Simplicité et Gourmandise
Ce qui ressort de toutes ces anecdotes, c’est que Julia Child, malgré son statut de légende culinaire, appréciait les plaisirs simples de la vie et n’hésitait pas à utiliser des raccourcis du commerce. Elle aimait les snacks sans chichi, les produits du quotidien, et il paraît même qu’elle était une fan du site de recettes Allrecipes ! La preuve que l’on peut être une star de la cuisine et apprécier la simplicité.
Côté ingrédients, Julia Child avait bien sûr ses préférences. Pour le beurre, inutile de préciser qu’elle jurait par le beurre français. Après avoir appris les bases de la cuisine en France, elle considérait le beurre français comme le roi des matières grasses, avec son petit goût de noisette et son acidité que le beurre américain n’avait pas. On la comprend !
Et pour le chocolat, elle avait un faible pour les chocolats Scharffen Berger. Lorsqu’elle a découvert cette marque artisanale américaine, elle l’aurait qualifiée de « meilleure des États-Unis ». Un compliment qui a dû faire plaisir au chocolatier en question !
Dernière petite anecdote, moins reluisante mais révélatrice d’une autre époque : Julia Child était une grande fumeuse. Elle fumait beaucoup, même entre les plats, et n’a arrêté qu’en 1968 suite à une alerte médicale. Comme quoi, même les plus grands ont leurs petits vices.
Julia Child : Plus qu’une cuisinière, une personnalité attachante
Au-delà de ses talents culinaires, Julia Child était une personnalité attachante et pleine d’humour. Dorie Greenspan, encore elle, se souvient avec tendresse de son été passé avec la célèbre chef. On imagine bien l’ambiance conviviale et les éclats de rire dans sa cuisine.
Et pour ceux qui penseraient que Julia Child passait ses journées derrière les fourneaux, sachez qu’elle était aussi une sportive accomplie. Tennis, natation, basket-ball… Elle aimait se dépenser et profiter de la vie sous toutes ses formes. Une femme pleine de vitalité et d’énergie !
Enfin, impossible de parler de Julia Child sans évoquer son four Thermador Thermal Convection Oven, un outil indispensable dans sa cuisine. Un four performant pour une cuisinière exigeante, forcément.
Alors, la prochaine fois que vous grignoterez des Goldfish à l’apéro, pensez à Julia Child. Elle nous prouve qu’on peut être une icône de la gastronomie et apprécier les plaisirs simples, sans se prendre trop au sérieux. Et ça, c’est une leçon de vie aussi savoureuse qu’un bon plat mijoté !