Est-ce qu’Ottolenghi a des enfants ? La réponse pourrait vous surprendre (ou pas !)
Alors, la question brûlante que tout le monde se pose (enfin, peut-être pas tout le monde, mais au moins vous, sinon vous ne seriez pas là) : Est-ce qu’Ottolenghi, le roi de la cuisine exotique et des saveurs complexes, a des enfants ? Oui, absolument ! Et figurez-vous qu’il n’en a pas un, mais deux ! Accrochez-vous, car l’histoire ne s’arrête pas là.
Deux garçons à la maison : la brigade Ottolenghi s’agrandit !
Yotam Ottolenghi, ce chef israélo-britannique qui nous fait saliver avec ses recettes pleines d’épices et d’ingrédients venus d’ailleurs, partage sa vie avec son mari, Karl Allen. Ensemble, ils ont deux magnifiques garçons. Imaginez un peu : grandir dans une maison où le père est un génie culinaire de renommée mondiale. Le rêve, non ? Eh bien, pas si sûr, à en croire ce qui suit !
« Je n’aime pas Ottolenghi » : le verdict impitoyable des enfants
Vous vous attendez peut-être à ce que les enfants d’Ottolenghi soient les palais les plus raffinés de la planète, capables de distinguer les subtiles notes de cardamome dans un plat à des kilomètres à la ronde. Que nenni ! La réalité est bien plus… amusante. Figurez-vous que ces chères têtes blondes, âgées de neuf et onze ans, ont osé prononcer l’impensable : « Je n’aime pas Ottolenghi ». Oui, oui, vous avez bien lu. Leurs propres enfants n’aiment pas la cuisine de leur père. L’ironie du sort, n’est-ce pas ?
Alors, qu’est-ce qui cloche ? Les enfants préfèrent-ils les plats plus simples, moins élaborés ? Absolument ! Oubliez les tajines complexes et les salades multicolores dignes d’un tableau de maître. Leur péché mignon ? Le pain perdu et les omelettes. On est loin des saveurs audacieuses et des mélanges surprenants qui font la signature d’Ottolenghi, n’est-ce pas ?
La taille, ça compte (surtout dans l’assiette des enfants)
Mais ce n’est pas tout. Apparemment, la couleur des aliments n’est pas le problème majeur pour ces jeunes gourmets en herbe. Non, ce qui les dérange vraiment, c’est la taille. Ottolenghi lui-même l’a confié à un magazine allemand, Stern : « Mes enfants ne sont pas tant gênés par la couleur que par la taille. »
En gros, ce qu’ils veulent, c’est pouvoir attraper facilement ce qu’ils mangent. Un haricot vert entier ? Dévoré en un clin d’œil ! Mais si vous leur proposez de minuscules morceaux de persil, c’est niet catégorique. La logique enfantine est parfois impénétrable, mais tellement drôle !
Le mystère des légumes coupés (et non coupés)
Continuons dans le registre des préférences alimentaires surprenantes. Les enfants d’Ottolenghi adorent les concombres et les carottes. Jusque-là, tout va bien. Mais attention, préparez-vous à être déconcerté : si vous avez l’audace de couper ces légumes et de les intégrer dans une salade de type coleslaw, ils n’y toucheront plus !
C’est à se demander s’ils ont un détecteur de légumes coupés intégré. Peut-être qu’ils sentent la trahison, le changement d’état du légume. Ou alors, c’est juste une question de texture. Mystère et boule de gomme ! En tout cas, une chose est sûre : avec ses enfants, Ottolenghi a affaire à une critique culinaire impitoyable, et surtout très… personnelle.
Ottolenghi face à la dure réalité du terrain : la cuisine pour enfants, un défi universel
Cette anecdote savoureuse nous rappelle une vérité universelle : même les plus grands chefs étoilés sont confrontés au défi de nourrir leurs enfants. Que vous soyez un virtuose des fourneaux ou un simple cuisinier du dimanche, vous savez que les enfants ont leurs propres codes, leurs propres goûts, souvent bien éloignés de nos attentes parentales.
Alors, la prochaine fois que vous vous arracherez les cheveux devant l’assiette à moitié pleine de votre enfant, rappelez-vous qu’Ottolenghi lui-même est confronté à la même situation. Et si ça peut vous consoler, dites-vous que même les plus grands talents culinaires ne peuvent pas toujours rivaliser avec un bon vieux pain perdu. La vie est pleine de surprises, même dans l’assiette !
En conclusion : Ottolenghi, un chef comme les autres… enfin presque !
Pour résumer, oui, Ottolenghi a bien deux enfants, deux garçons qui préfèrent le pain perdu à ses platsSignature. Cette petite anecdote nous humanise un peu plus ce chef que l’on pourrait imaginer inaccessible, perché sur son piédestal culinaire. Elle nous montre qu’au-delà des recettes sophistiquées et des livres de cuisine à succès, il y a aussi un papa qui doit composer avec les caprices alimentaires de ses enfants. Et ça, c’est plutôt rassurant, non ? Alors, la prochaine fois que vous hésiterez à tester une recette Ottolenghi, lancez-vous ! Si ses enfants n’aiment pas, ce n’est pas grave, vous, vous adorerez peut-être ! Et puis, il vous restera toujours l’option pain perdu, valeur sûre pour petits et grands… même pour les enfants d’Ottolenghi !