Est-ce que le Guardian est un journal marxiste ?
Alors, la question du jour est: le Guardian est-il vraiment un journal marxiste? Accrochez-vous à votre latte, car nous allons plonger dans les profondeurs de l’histoire, de la politique et, accessoirement, de l’humour (si on peut encore l’appeler ainsi). Préparez-vous à découvrir les origines du Guardian et à voir pourquoi cette question donne autant de maux de tête.
L’histoire du Guardian
Pour vraiment comprendre le Guardian, regardons d’abord son ancêtre, le National Guardian. Ce dernier a été lancé en 1948 par des noms flamboyants comme James Aronson, Cedric Belfrage et John T. McManus. Peut-être que ces gens ne sont pas le genre de superstar que l’on voit sur TikTok aujourd’hui, mais à l’époque, ils avaient un certain poids. Initialement, le National Guardian était perçu comme un journal proche des idées pro-Moscou de la Communist Party USA.
Mais attention! Ce lien s’est rapidement effiloché, les rédacteurs se rendant compte que l’étiquette « communiste » sur un journal n’était pas tout à fait un bon plan marketing en plein cœur de la guerre froide. Comme un bon vieux sitcom où le héros essaie de se désolidariser d’un ami légèrement mal-intentionné, le journal a pris ses distances avec ces sympathies.
Le Guardian moderne: que dit-on ?
En 1968, le National Guardian a fait peau neuve et a décidé de se renommer pour devenir simplement Le Guardian. C’est à ce moment-là qu’il a commencé à afficher un petit penchant pour le marxisme-léninisme. Le changement est si fort qu’on pourrait se demander si le personnel a fait un séminaire en Asie, tellement leur position était pro-Chine.
Et puis, avec un slogan aussi accrocheur que « Le devoir d’un journal radical est de construire un mouvement radical », ils ont intensifié la couverture des événements révolutionnaires. Oui, cherchez bien, le Guardian s’est véritablement donné les moyens de se revendiquer d’une idéologie marxiste à l’époque, tout en flattant le mouvement communiste américain. Un peu comme si vous mélangez la seriously deep philosophie avec une bonne pizza!
Une navigation délicate à travers les idées
Mais attendez! Avant de déclarer le Guardian comme le haut-parleur autoproclamé de Karl Marx, il faut savoir que leur approche n’est pas monolithique. Dans les années 70, ils ont commencé à embrasser des idées de radicalisation non-communiste. Ce qui les a parfois amenés à avoir un pied dans le mouvement marxiste et l’autre dans une approche plus indépendante. C’est comme être sur Tinder, jonglant entre deux prétendants qui ont des idées diamétralement opposées.
En direction du vichy des tendances
Le Guardian a sûrement exploré des territoires plus radicaux dans les années 80, mais par la suite, il n’hésite pas à pivoter vers une non-communisme et à s’aligner avec des mouvements plus variés. Pour le rancard, cela ressemble à une personne qui a été dans une série de relations et finit par se dire : « Peut-être que tout ce que je veux, c’est être indépendant et vivre ma meilleure vie ». Et c’est exactement ce qui s’est passé avec le Guardian à ce moment-là.
En résumé, alors ?
Pour répondre à notre question initiale, le Guardian n’est pas vraiment un journal marxiste. Son évolution balance entre l’idéologie radicale et un journalisme indépendant engagé. C’est un peu comme choisir quella pizza: parfois vous voulez un pepperoni bien épicé, d’autres fois, un classique hawaïen, mais au fond, vous cherchez juste à bien manger. Le Guardian a donc cheminé à travers divers courants idéologiques tout en restant fidèle à son ethos de journalisme indépendant.
Faits amusants sur le Guardian qui pourraient vous intéresser
- Le nombre de ses lecteurs : Oui, c’est une montagne russe! Avec des pics à 100 000 abonnés et des creux qui frôle les 29 000. C’est un peu émouvant, comme regarder une série dramatique anglo-saxonne où tout le monde finit par être séparé.
- Les tendances de l’actualité : De la couverture des droits civiques aux critiques de guerre, ils ont essayé de traiter de tous les maux du monde, comme un super-héros sans cape… mais avec un stylo.
- Ils prennent régulièrement position : Un bon point pour le Guardian, toujours en soutien des mouvements d’émancipation. Une jolie façon de rappeler que parfois, le journalisme est une forme de résistance.
En conclusion, ne nous mettons pas à étiqueter le Guardian comme un simple journal communiste. Bien que son histoire soit pleine de rebondissements spectaculaires, elle reste celle d’un organe de presse indépendant, cherchant à rester pertinent dans un monde complexe. Alors, qu’importe leur affiliation, le vrai défi reste de déchiffrer le bruit ambiant pour saisir l’essence de l’information.