C’est quoi la malbouffe en Iran ? Plongée hilarante dans les délices (pas si) coupables iraniens !
Alors, la question qui brûle toutes les lèvres (et qui fait peut-être grossir le tour de taille) : c’est quoi, au juste, la malbouffe en Iran ? Accrochez-vous, parce qu’on va explorer ensemble ce vaste et délicieux territoire, avec une petite touche d’humour, bien sûr !
Figurez-vous que l’Iran, pays de la gastronomie raffinée avec ses kebabs succulents et ses ragoûts parfumés, n’échappe pas à la tentation de la malbouffe. Et oui, même là-bas, on craque pour des plaisirs un peu moins « healthy ». Mais quels sont ces fameux péchés mignons iraniens ?
Le Top 7 des Stars de la Malbouffe Iranienne (Attention, Âmes Sensibles s’abstenir… ou pas !)
Selon des études très sérieuses (oui, oui, on a fait nos devoirs!), il y a un « sept majeur » de la junk food en Iran. Préparez-vous, ça va décoiffer :
- Les gâteaux : Ah, les gâteaux… moelleux, sucrés, parfois dégoulinants de crème. Qui peut résister ? Apparemment, pas les Iraniens !
- Les biscuits à la crème : Imaginez deux biscuits croustillants enserrant une crème onctueuse (et probablement pleine de bonnes choses…). Un délice, on vous dit !
- Les biscuits simples : Moins glamour que les biscuits à la crème, certes, mais toujours là pour une petite pause gourmande.
- Les chocolats à la crème : Le chocolat, c’est déjà bien. Mais avec de la crème, c’est carrément le jackpot !
- Les chocolats simples : Pour les puristes du chocolat, ou ceux qui veulent faire (un peu) attention à leur ligne (mais pas trop, hein).
- Les chips : Croustillantes, salées, addictives… Les chips, le péché mignon universel, sont aussi très populaires en Iran.
- Les « puffy » (on dirait des soufflés) : Difficile à décrire, mais apparemment incontournables dans le paysage de la junk food iranienne. Mystérieux, non ?
Et ce n’est pas tout ! Si on creuse un peu, on découvre que les Iraniens adorent aussi les snacks sucrés (27,3% de la consommation de malbouffe, quand même !), les fritures (11,7%), et les snacks salés (11,4%). Sans oublier les boissons sucrées et gazeuses, les boissons énergisantes et les jus de fruits (parfois plus proches du soda que du fruit frais…).
Mais le clou du spectacle, tenez-vous bien, c’est que les Iraniens sont les plus gros consommateurs de viande transformée du Moyen-Orient ! En moyenne, un Iranien engloutit 8,5 kg de saucisses par an. Oui, vous avez bien lu. 8,5 kg de saucisses. C’est presque une saucisse par semaine ! (Bon, ok, c’est plus que ça, mais l’image est parlante, non ?)
Et tout ça, ça coûte cher ! Figurez-vous que les Iraniens dépensent pas moins de 3 milliards de dollars par an en fast-food. 3 milliards ! De quoi acheter quelques Kebabs, non ? Enfin, beaucoup, beaucoup de kebabs…
Les Graisses Trans, Ennemies Cachées de la Malbouffe Iranienne (et d’ailleurs !)
Maintenant, parlons un peu technique (mais toujours avec humour, promis). Le souci avec la malbouffe iranienne (comme la malbouffe en général), c’est sa composition en acides gras. Et là, on tombe sur les fameuses graisses trans.
Ces graisses trans, ce sont des petites molécules un peu sournoises, produites industriellement lors de la fabrication de certaines matières grasses végétales hydrogénées partiellement. Et devinez quoi ? On en retrouve en grande quantité dans la junk food et les produits de boulangerie iraniens. La faute à l’utilisation de ces fameuses graisses hydrogénées.
Dans ces aliments, on trouve surtout de l’acide élaïdique (C18:1 9t), une graisse trans bien particulière, dont la concentration peut varier de 2,4% à 18,5%. Autant dire que ça commence à faire beaucoup !
Pour les chimistes en herbe, sachez aussi que l’acide stéarique (C18:0) et l’acide palmitique (C16:0) sont les acides gras saturés les plus présents dans la malbouffe iranienne. Et que, bizarrement, les acides gras mono-insaturés (MUFA) et poly-insaturés (PUFA) sont présents à des niveaux similaires (environ 14,8%). L’acide oléique (C18:1 9c) est le MUFA le plus courant, tandis que l’acide linoléique (C18:2) domine les PUFA, sauf dans les chocolats à la crème, où l’acide linolénique (C18:3) prend le dessus.
Malbouffe Iranienne vs. Malbouffe du Monde : Match (Pas Très) Amical !
Alors, la malbouffe iranienne, elle se situe comment par rapport à celle des autres pays ? Accrochez-vous, il y a des surprises !
Figurez-vous que les gâteaux iraniens contiennent plus de graisses trans (jusqu’à 36,1% !) que les gâteaux turcs et italiens. Oui, oui, vous avez bien entendu. Champions du monde des graisses trans, nos amis iraniens ? Presque !
En comparaison, en Turquie, les graisses trans dans le chocolat sont presque inexistantes (moins de 0,17 g pour 100 g de matières grasses). Et en Chine, ça varie de 12,07% dans les tartes et gâteaux à seulement 0,83% dans les snacks chinois traditionnels.
Malbouffe et Santé : Le Cocktail (Pas Très) Détonnant
Bon, soyons honnêtes deux minutes. La malbouffe, ce n’est pas vraiment l’allié de notre santé. Et en Iran, c’est pareil. La forte consommation de junk food et le faible intérêt pour les produits laitiers pourraient bien expliquer la forte prévalence de maladies chroniques dans le pays. La faute, encore une fois, à ces satanées graisses trans et à leur composition en acides gras peu recommandables.
On sait que la consommation de graisses trans est liée à un risque accru de maladies coronariennes. Et des études ont montré qu’elle pouvait aussi favoriser le diabète de type II, le syndrome métabolique et l’obésité abdominale. Tout un programme !
Du coup, les autorités de santé publique sont de plus en plus sensibilisées à ce problème et aimeraient bien limiter la présence de graisses trans industrielles dans nos aliments. Une bonne nouvelle, non ?
Produits Laitiers et Boulangerie : Les Complices de la Malbouffe ?
On l’a dit, la consommation de produits laitiers n’est pas toujours au top en Iran. Pourtant, ils sont importants pour notre santé ! Mais parlons plutôt des produits laitiers… « transformés ».
On distingue huit types de produits laitiers : laits entiers, laits écrémés, yaourts entiers, yaourts écrémés, fromages gras, fromages allégés, beurres animaux et margarines. Et dans ces produits laitiers, on retrouve aussi des graisses trans, notamment l’acide vaccénique (C18:1 11t), dont la concentration peut varier de 2,1% à 11,5%.
Les taux de graisses trans dans les produits laitiers varient de 1,3% dans le fromage allégé à 16,1% dans les margarines. De quoi se poser des questions sur nos choix alimentaires, non ?
Fast-Food à l’Iranienne : Quand l’Interdit Devient Tendance (et Hilarant)
Dernier point, et non des moindres : le fast-food en Iran. Vous le savez peut-être, les grandes chaînes américaines sont interdites en Iran. Mais ça n’empêche pas les Iraniens de raffoler de burgers, pizzas et autres joyeusetés !
Du coup, un marché parallèle de fast-food « à la iranienne » s’est développé, avec des enseignes aux noms plus ou moins inspirés (et souvent très drôles) : Mash Donalds (vous voyez l’idée ?), Boof Burger (pour les amateurs de viande ?), Subways (le métro iranien du sandwich ?), Sheak Shack (le chalet à milkshakes ?), Pizza Hat (le chapeau à pizza ?). On dirait presque des parodies !
Et pour finir sur une note amusante, il y a même eu une confusion autour de la fermeture du « premier KFC iranien ». Comme quoi, même la malbouffe peut créer des histoires rocambolesques !
Alors, la malbouffe en Iran, c’est un peu tout ça : des gâteaux, des biscuits, des chips, des saucisses, des fast-foods « maison » et beaucoup de graisses trans. Un joyeux mélange de saveurs et de… moins bonnes choses pour la santé. Mais bon, de temps en temps, un petit plaisir coupable, ça ne fait de mal à personne, non ? (Enfin, c’est ce qu’on se dit pour se rassurer…)