Comment les Britanniques appellent-ils les préservatifs ? Découvrons les surnoms coquins d’outre-Manche !
Ah, les préservatifs ! Ce petit accessoire indispensable pour batifoler en toute sécurité. Mais dites-moi, chers amis francophones, vous êtes-vous déjà demandé comment nos amis britanniques, toujours élégants et un brin mystérieux, les appellent ? La réponse courte, pour satisfaire votre curiosité immédiate, est : ils utilisent principalement les termes « rubber » et « Johnny ». Voilà, c’est dit ! Mais attendez, l’histoire ne s’arrête pas là, loin de là ! Accrochez-vous, car on part explorer les méandres linguistiques de la Grande-Bretagne et leurs appellations surprenantes pour ce bout de latex.
Commençons par le commencement, si vous le voulez bien. Imaginez-vous dans un pub londonien typique, l’ambiance chaleureuse, la bière coulant à flots… et la conversation dérive, comme souvent, vers des sujets plus… intimes. Si vous entendez quelqu’un commander un « rubber » ou un « Johnny », ne vous méprenez pas ! Il ne s’agit pas d’une gomme à effacer géante, ni d’un ami prénommé Jean. Non, non, on parle bien de préservatifs. « Rubber », c’est un terme qui fleure bon les années 90, un peu vintage, mais toujours compris. Pensez aux vieux films, aux séries télé… C’est le classique, le terme un peu désuet mais qui fait sourire.
Aujourd’hui, le vent a tourné, mes chers lecteurs. « Johnny » est devenu le chouchou des Britanniques. Plus moderne, plus léger, il sonne presque comme un prénom amical, non ? Imaginez la scène : « Chéri, tu as pensé à prendre des Johnnies ? » C’est tout de suite plus décontracté, moins formel que « préservatif », avouez-le. Et puis, il faut bien le dire, « Johnny », ça a un petit côté rock’n’roll qui ne gâche rien. On imagine bien un groupe de musique branché baptiser son prochain album « The Johnnies », non ?
Mais attendez, il y a encore mieux ! Si vous vous aventurez plus au nord, dans le Yorkshire, région réputée pour son accent chantant et ses habitants chaleureux (et parfois un peu rustres, soyons honnêtes), vous pourriez entendre parler de « rubber johnies ». Oui, oui, vous avez bien lu. C’est comme un combo, un mélange des deux mondes. « Rubber johnies », c’est l’assurance de ne laisser planer aucun doute sur ce dont on parle. C’est direct, c’est efficace, c’est… Yorkshire, en somme ! On imagine bien un mineur du Yorkshire, après une dure journée de labeur, dire à sa dulcinée : « Viens ma belle, j’ai des rubber johnies qui nous attendent ! ». Bon, peut-être pas exactement comme ça, mais vous voyez l’idée.
Et les fameuses « French letters », alors ? Ah, les « lettres françaises »… Ce terme mystérieux, chargé d’histoire et de sous-entendus. Figurez-vous qu’en Grande-Bretagne, on peut encore entendre cette expression, bien que moins couramment qu’avant. « French letters », c’est une façon un peu désuète, un peu polissonne, de parler des préservatifs. On imagine bien les générations précédentes, un brin pudibondes, utiliser cette expression pour éviter de prononcer le mot « préservatif » trop directement. C’est un peu comme dire « le petit Jésus en culotte de velours », vous voyez le genre ? Un détournement linguistique plein de charme suranné.
Attention, amis voyageurs ! Si vous traversez l’Atlantique et vous retrouvez aux États-Unis, méfiez-vous du mot « rubber » ! Là-bas, « rubber » signifie bel et bien… préservatif. Oui, oui, nos cousins américains utilisent « rubber » comme terme courant pour désigner ce fameux objet. Alors, imaginez la confusion si un Britannique demande un « rubber » dans une pharmacie américaine en pensant à une gomme à effacer… Le pharmacien risque de le regarder d’un drôle d’air, non ? Inversement, un Américain demandant un « rubber » dans une papeterie britannique pourrait se retrouver avec une boîte de gommes à effacer, au lieu de ce qu’il attendait vraiment. Quiproquo garanti ! C’est le charme des différences culturelles, n’est-ce pas ?
D’ailleurs, parlons un peu de nos amis australiens, ces joyeux lurons du bout du monde. Eux aussi ont leurs petites expressions bien à eux pour parler des préservatifs. Vous pourriez entendre « franger », par exemple. « Franger », c’est court, c’est percutant, ça sonne un peu comme un boomerang qui revient toujours… Et puis, ils utilisent aussi « Frenchie », un dérivé de « French letters », mais en version australienne, plus décontractée, plus « no worries ». On imagine bien un surfeur australien, après une session de vagues endiablée, dire à sa compagne : « Hey mate, t’as des Frenchies dans ton sac ? ». Ambiance décontractée garantie !
Mais revenons un peu sur l’origine de ce fameux « Johnny ». D’où vient donc ce surnom ? Remontons le temps, jusqu’au 17ème siècle, mes chers amis historiens en herbe. À cette époque, les préservatifs commençaient à se populariser (enfin, façon de parler, c’était pas encore la folie non plus). Et figurez-vous que les emballages de préservatifs étaient parfois appelés « John Milles » ou « Johnny Mills ». Avec le temps, le « Mills » a disparu, et il ne reste plus que « Johnny ». Comme quoi, les surnoms ont parfois des origines étonnantes, cachées dans les replis de l’histoire. C’est un peu comme découvrir un trésor enfoui, non ?
Alors, la prochaine fois que vous croiserez un Britannique, n’hésitez pas à lui demander son avis sur les « rubbers » et les « johnnies ». Vous verrez, la conversation risque d’être… animée ! Et qui sait, vous apprendrez peut-être d’autres surnoms encore plus farfelus. Après tout, la langue anglaise est un terrain de jeu infini pour l’humour et la créativité, surtout quand il s’agit de sujets un peu… épicés. Et puis, avouons-le, parler de préservatifs avec des surnoms rigolos, c’est quand même plus sympa que d’utiliser des termes trop sérieux, non ? Ça détend l’atmosphère, ça brise la glace, et ça permet d’aborder le sujet avec plus de légèreté. Alors, à vos « johnnies », prêts, partez ! (en toute sécurité, bien sûr !)