Quel est l’autre nom du sureau ? Découvrez ses multiples identités !
Quel est l’autre nom du sureau ? Laissez-moi vous éclairer, chers amis curieux !
Ah, le sureau ! Cette plante aux multiples facettes, un peu comme votre personnalité après deux cafés serrés. Vous vous demandez quel est son autre nom ? Eh bien, accrochez-vous, car le sureau a plus d’un tour dans son sac, enfin, dans son écorce devrais-je dire. On ne l’appelle pas « l’arbre aux fées » pour rien, figurez-vous !
Alors, pour répondre directement à votre question brûlante : le sureau est aussi connu sous le nom de sureau commun. Voilà, c’est dit ! Mais attendez, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, ou plutôt, de l’arbre. Car notre ami le sureau a une véritable collection de surnoms, un peu comme un acteur célèbre avec ses noms de scène et ses identités secrètes.
Imaginez un peu : vous vous promenez dans la campagne, vous croisez un arbuste élégant avec de jolies fleurs blanches. « Tiens, un sureau ! » vous exclamez-vous. Mais votre ami botaniste, un brin pédant sur les bords, vous corrige : « Voyons, mon cher, ne soyez pas si réducteur ! Ceci est aussi un suseau, un suyer, un seu, voire un seur pour les intimes ! » Avouez que ça en jette, non ?
Et ce n’est pas tout ! Le sureau, dans sa grande générosité, s’est vu attribuer des titres encore plus poétiques. On le surnomme affectueusement « l’arbre aux fées« . Est-ce parce qu’il abrite des créatures magiques ? Mystère… Peut-être que les fées apprécient simplement ses baies délicieuses (cuites, bien sûr, on ne veut pas d’histoires de ventre qui gargouille). Ou alors, c’est à cause de son allure mystérieuse, surtout quand la brume matinale l’enveloppe de son voile vaporeux.
Mais le sureau n’est pas qu’un conte de fées. Il a aussi un côté très pratique, presque terre-à-terre. D’ailleurs, on le surnomme aussi « le pharmacien de la maison« . Rien que ça ! Il faut dire que nos ancêtres avaient bien compris les vertus médicinales de cette plante prodigieuse. Écorces, feuilles, fleurs, fruits… Presque tout est bon dans le sureau ! Bon, sauf peut-être les tiges crues, qui peuvent vous donner une idée de ce que ressent un volcan en éruption (au niveau digestif, s’entend).
Et comme si cela ne suffisait pas, le sureau se fait aussi appeler « le protecteur du foyer« . On imagine bien nos aïeux planter un sureau près de leur maison pour éloigner les mauvais esprits et attirer la bonne fortune. Un peu comme un porte-bonheur végétal, plus efficace qu’un trèfle à quatre feuilles, et beaucoup plus joli, avouons-le.
D’ailleurs, parlons un peu de son apparence. Le sureau noir, de son nom scientifique Sambucus nigra (rien que ça, ça impressionne !), est un arbuste qui peut atteindre jusqu’à 7 mètres de haut. Imaginez-le dans votre jardin, majestueux et bienveillant. Ses rameaux sont remplis de moelle, un peu comme une guimauve végétale. Pour vérifier, rien de plus simple : cassez une petite branche, et si c’est moelleux à l’intérieur, bingo, vous avez affaire à un sureau ! L’écorce des arbres plus âgés prend une couleur gris-brun et se fissure avec le temps, comme une peau tannée par le soleil et les années.
Il existe différentes variétés de sureaux, un peu comme il existe différentes saveurs de glaces. Le sureau rouge, aussi appelé sureau des montagnes ou sureau à grappes, est une autre espèce, avec des baies… rouges, forcément ! Moins courant que le sureau noir, mais tout aussi charmant. Et puis il y a le sureau du Canada, qui crée parfois la confusion avec notre sureau noir indigène. Mais ne vous y trompez pas, ce sont bien deux cousins éloignés, chacun avec son petit caractère bien trempé.
Alors, que faire avec toutes ces informations ? Eh bien, la prochaine fois que vous croiserez un sureau, vous pourrez l’aborder avec un peu plus de familiarité. Vous pourrez même l’appeler par l’un de ses nombreux surnoms, histoire de montrer que vous êtes au courant. Imaginez la scène : « Salut l’arbre aux fées, ça gaze aujourd’hui ? ». Succès garanti auprès des passants, ou au moins, un regard amusé et interrogateur.
Et n’oubliez pas, le sureau est une plante généreuse. Ses fleurs se transforment en délicieuses baies, à condition de les cuire, on insiste ! On en fait de la confiture, des sirops, des tartes… Un vrai régal pour les papilles. Et puis, ses fleurs blanches sont parfaites pour réaliser de savoureuses beignets. L’arbre à beignets, un autre surnom du sureau ? Pourquoi pas, après tout, il en a déjà tellement !
En résumé, le sureau, c’est un peu le couteau suisse des plantes. Il a plusieurs noms, plusieurs usages, et une histoire riche et fascinante. Alors, la prochaine fois que vous vous demanderez quel est l’autre nom du sureau, souvenez-vous : il en a bien plus qu’un, et chacun raconte une partie de son histoire. Et maintenant, filez donc admirer cet arbre incroyable, et peut-être même, lui murmurer un de ses doux surnoms à l’oreille. Qui sait, il vous répondra peut-être par un bruissement de feuilles complices…