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Comprendre les becs de perroquet : symptômes, diagnostic et conseils pour apaiser la douleur

par Nathalie Gindre avril 11, 2025
par Nathalie Gindre avril 11, 2025
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Qu’est-ce qu’un bec de perroquet ? La réponse à cette question qui vous taraude (peut-être) !

Alors, parlons peu, parlons bien, parlons… becs de perroquet ! Non, on ne va pas se lancer dans un cours d’ornithologie, quoique, ce serait peut-être plus amusant. Mais restons sérieux (un peu) : aujourd’hui, on s’attaque à une question de santé, un truc qui peut vous faire grincer des dents, littéralement ou presque.

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Vous vous demandez ce qu’est un bec de perroquet ? Accrochez-vous, on plonge dans le vif du sujet. Et non, ce n’est pas une nouvelle espèce d’oiseau exotique qui a élu domicile dans votre genou. Enfin, j’espère pour vous !

Un bec de perroquet, en langage médical un peu moins imagé, on appelle ça un ostéophyte ou encore un éperon osseux. C’est en fait une petite excroissance osseuse, une sorte de bonus osseux, qui se développe sur le bord de vos os. Imaginez un peu, vos os qui se mettent à faire pousser des petites pointes, comme ça, sans prévenir. La nature est parfois surprenante, n’est-ce pas ?

Ces petites protubérances, ces « becs », apparaissent là où vos os se rencontrent, aux niveau de vos articulations. C’est un peu comme si vos articulations décidaient de se faire pousser des épines, histoire de pimenter un peu le quotidien. Généralement, ces excroissances sont plutôt lisses, mais ne vous y trompez pas, elles peuvent quand même causer quelques soucis. Elles peuvent frotter, user, irriter d’autres os, ligaments ou tendons. Sympa, non ?

Où ces fameux becs de perroquet aiment-ils se loger ?

Ces ostéophytes, ces aventuriers osseux, ne sont pas très difficiles. Ils peuvent élire domicile un peu partout dans votre corps, du moment qu’il y a des os, évidemment. Mais ils ont quand même leurs endroits préférés, un peu comme nous et nos coins de canapé favoris.

Parmi leurs lieux de villégiature favoris, on retrouve :

  • La hanche, endroit stratégique pour gêner la marche et les mouvements élégants.
  • Le genou, parfait pour se faire sentir à chaque flexion, histoire de vous rappeler qu’il est là.
  • L’épaule, idéal pour limiter les mouvements de bras et rendre certaines tâches quotidiennes, comme attraper un pot de confiture en haut d’une étagère, un véritable défi olympique.
  • Et même la colonne vertébrale, parce que pourquoi pas ? Là, ils peuvent s’amuser à chatouiller la moelle épinière, histoire de provoquer quelques sensations… disons, « intéressantes ».

En résumé, ces becs de perroquet ont un goût certain pour les endroits stratégiques, ceux qui vous servent tous les jours. Ils sont farceurs, ces ostéophytes, faut bien le reconnaître.

Quand est-ce qu’on risque de croiser ces drôles d’oiseaux osseux ?

Alors, bonne nouvelle (ou mauvaise, ça dépend du point de vue), les becs de perroquet, ce n’est pas une exclusivité réservée aux octogénaires grabataires. Même si, soyons honnêtes, plus on avance en âge, plus on a de chances de les rencontrer. C’est un peu comme les rides ou les cheveux blancs, ça fait partie du package « vie qui avance ».

En fait, il est assez courant de trouver des éperons osseux chez les personnes de plus de 60 ans. C’est l’âge d’or des ostéophytes, si on peut dire. Mais attention, ce n’est pas une fatalité non plus ! Certains chanceux (ou malchanceux, selon le degré d’humour noir) peuvent en développer bien avant.

La principale raison de leur apparition, c’est l’usure, tout simplement. Vos os vieillissent, s’usent, c’est comme une vieille paire de chaussures qui commence à montrer des signes de fatigue. Et quand les os s’usent, ils peuvent réagir en formant ces petites excroissances, ces becs de perroquet. C’est leur façon de se défendre, peut-être ? Ou de protester contre le temps qui passe ? Mystère…

Pourquoi ces becs de perroquet pointent-ils le bout de leur nez osseux ?

Plusieurs facteurs peuvent favoriser l’apparition de ces joyeux lurons osseux. En plus du vieillissement et de l’usure, bien sûr, il y a d’autres coupables potentiels.

  • Le stress articulaire : Vos articulations sont soumises à rude épreuve au quotidien. Marche, course, saut, port de charges, tout ça, ça les fatigue, les stresse. Et ce stress articulaire peut encourager la formation d’ostéophytes. Alors, ménagez vos articulations, elles vous le rendront !
  • L’arthrose : Voilà le grand classique, la cause numéro un des becs de perroquet. L’arthrose, c’est une maladie qui attaque le cartilage, ce petit coussinet qui protège vos articulations. Quand le cartilage s’abîme, les os frottent les uns contre les autres, et ça, ça peut provoquer la formation d’ostéophytes. C’est un peu comme une réaction en chaîne infernale.
  • Les lésions articulaires : Un choc, une blessure, une entorse… Tout ça peut endommager vos articulations et, à terme, favoriser l’apparition de becs de perroquet. Alors, faites attention à vos articulations, elles sont précieuses !
  • La surcharge ou friction prolongée : Si vous sollicitez excessivement une articulation pendant de longues périodes, que ce soit à cause de votre activité professionnelle, de votre sport ou de mauvaises postures répétées, vous augmentez le risque de voir apparaître des ostéophytes. La modération a du bon, même pour vos articulations.

En résumé, tout ce qui maltraite vos articulations peut, à terme, favoriser l’apparition de ces petites excroissances osseuses. Alors, prenez soin de vos articulations, elles vous remercieront (peut-être pas en mots, mais en silence, c’est déjà pas mal).

Comment savoir si on a des becs de perroquet ? Les symptômes à guetter

La grande blague des becs de perroquet, c’est qu’ils sont souvent très discrets. Dans la plupart des cas, ils sont même totalement silencieux, invisibles, indolores. Vous pouvez en avoir sans le savoir, sans ressentir le moindre symptôme. C’est un peu comme avoir un colocataire fantôme, il est là, mais vous ne le voyez pas, vous ne l’entendez pas.

Mais parfois, ces becs de perroquet décident de se faire remarquer, de mettre un peu d’ambiance. Et là, les symptômes peuvent pointer le bout de leur nez (osseux, toujours). Ça dépend surtout de l’endroit où ils sont logés et de ce qu’ils viennent chatouiller.

  • Becs de perroquet sur le genou : Si les ostéophytes se sont installés sur votre genou, vous risquez de ressentir des douleurs lorsque vous étendez ou pliez la jambe. Imaginez un grincement rouillé à chaque mouvement, c’est un peu ça. Ça peut aussi limiter l’amplitude de mouvement de votre genou, vous aurez du mal à le plier ou à l’étendre complètement. La joie !
  • Becs de perroquet sur la hanche : Là, les symptômes classiques, ce sont les douleurs à la hanche, surtout lors des mouvements. Vous aurez du mal à lever la jambe, à faire pivoter la hanche. L’amplitude de mouvement de la hanche diminue, ce qui peut rendre certaines activités quotidiennes, comme s’habiller ou monter les escaliers, plus compliquées. La danse de salon risque de devenir un défi.
  • Becs de perroquet sur la colonne vertébrale : Attention, là, ça peut devenir un peu plus sérieux. Si les ostéophytes appuient sur la moelle épinière ou les nerfs, ça peut provoquer une faiblesse et un engourdissement dans les bras et les jambes. Imaginez des fourmis qui se baladent dans vos membres, pas très agréable. Dans certains cas, ça peut même aller jusqu’à des problèmes d’équilibre ou de coordination. Bref, pas le top.

Si vous ressentez des douleurs articulaires persistantes, une raideur, une perte de mobilité ou des sensations étranges dans les bras ou les jambes, parlez-en à votre médecin. Mieux vaut prévenir que guérir, surtout quand il s’agit de becs de perroquet farceurs.

Comment diagnostique-t-on ces fameux becs de perroquet ?

Pour démasquer ces ostéophytes cachés, le médecin a plusieurs outils à sa disposition. Pas besoin de loupe ou de détecteur de métaux, heureusement. Des méthodes simples et efficaces suffisent généralement.

  • La palpation : Le médecin va commencer par examiner vos articulations, en les palpant, en les manipulant. Il peut ainsi sentir s’il y a des petites bosses, des excroissances anormales sur l’os. C’est un peu comme chercher des bosses sur une orange, mais en moins fruité.
  • La radiographie : C’est l’examen de référence pour confirmer la présence de becs de perroquet. Sur une radio, les ostéophytes apparaissent clairement, comme des petites pointes osseuses. C’est un peu comme une photo d’identité des becs de perroquet, pour être sûr de ne pas se tromper.

Dans la plupart des cas, ces deux examens suffisent pour poser le diagnostic. Parfois, le médecin peut demander des examens complémentaires, comme un scanner ou une IRM, pour affiner le diagnostic ou rechercher d’autres problèmes associés. Mais rassurez-vous, on n’est pas dans « Dr House » non plus, le plus souvent, c’est assez simple.

Comment dompter ces becs de perroquet et soulager la douleur ?

Alors, une fois qu’on a identifié ces becs de perroquet, comment on fait pour les calmer, pour les faire taire ? Bonne nouvelle, il existe des solutions ! Pas de panique, on ne va pas vous proposer de les limer avec une râpe à fromage (même si l’idée est tentante). Des méthodes plus douces et plus efficaces existent.

Le traitement des becs de perroquet, ça dépend surtout de la douleur et de la gêne qu’ils provoquent. Si vous n’avez pas de symptômes, en général, on ne fait rien de spécial. On se contente de surveiller, comme on surveille un volcan en sommeil. Mais si la douleur est là, si elle vous gâche la vie, il faut agir.

Parmi les traitements possibles, on retrouve :

  • Le repos : La base, le B.A.-BA. Quand on a mal, il faut se reposer, ménager l’articulation douloureuse. C’est le moment de se poser sur le canapé avec un bon livre (ou une série Netflix, soyons honnêtes).
  • La glace : Le froid, c’est magique pour calmer la douleur et l’inflammation. Appliquez de la glace sur la zone douloureuse pendant 15-20 minutes, plusieurs fois par jour. Attention, ne mettez jamais la glace directement sur la peau, protégez-la avec un linge. On n’est pas des esquimaux non plus.
  • Les étirements : Des étirements doux et réguliers peuvent aider à améliorer la mobilité de l’articulation et à soulager la douleur. Mais attention, pas d’étirements violents ou forcés, on ne veut pas aggraver la situation. Allez-y en douceur, comme un chat qui s’étire au soleil.
  • Les spécialistes en traumatologie : Si la douleur persiste, si elle est trop intense, si elle vous empêche de vivre normalement, n’hésitez pas à consulter un spécialiste en traumatologie. Ces experts connaissent les becs de perroquet sur le bout des doigts (enfin, des instruments). Ils pourront vous proposer un diagnostic précis et un traitement adapté à votre situation. Et à la Clinique Elgeadi, ils sont justement spécialisés dans ce genre de choses. Coïncidence ? Je ne crois pas !

Dans certains cas, plus rares, la chirurgie peut être envisagée pour retirer les ostéophytes les plus gênants. Mais c’est vraiment en dernier recours, quand toutes les autres options ont échoué. On préfère éviter d’ouvrir, si possible.

Conseils de pro pour vivre en harmonie avec ses becs de perroquet (ou presque)

Alors, comment on fait pour cohabiter pacifiquement avec ces ostéophytes un peu envahissants ? Quelques astuces simples peuvent vous aider à soulager la douleur et à améliorer votre qualité de vie.

  • L’exercice physique modéré : Bouger, c’est la clé ! Même si vous avez mal, il est important de continuer à faire de l’exercice, mais de façon adaptée. Privilégiez les activités douces, qui ne sollicitent pas trop les articulations, comme la marche, la natation, le vélo. Combinez des exercices d’aérobic avec des exercices de renforcement musculaire, pour maintenir la mobilité et la stabilité de vos articulations. C’est un peu comme huiler des rouages grippés, ça aide à faire tourner la machine.
  • Les exercices de mobilité et de stabilité de la colonne vertébrale : Si vous avez des becs de perroquet sur la colonne vertébrale, ces exercices sont particulièrement importants. Ils permettent d’améliorer la flexibilité de votre colonne, de renforcer les muscles du dos et du ventre, et de soulager la douleur. Le yoga, le Pilates, la natation sont d’excellentes activités pour ça. Imaginez votre colonne vertébrale comme un bambou souple et résistant, c’est l’objectif !
  • Une bonne qualité de vie : Le meilleur traitement contre les éperons osseux, c’est encore une bonne hygiène de vie. Mangez équilibré, dormez suffisamment, évitez le stress, ne fumez pas, limitez votre consommation d’alcool… Bref, prenez soin de vous, de votre corps, de votre esprit. C’est un investissement à long terme, qui vous apportera bien plus que le soulagement de vos douleurs articulaires.
  • Un suivi régulier par des traumatologues spécialisés : N’hésitez pas à consulter régulièrement un spécialiste en traumatologie, même si vous n’avez pas de symptômes importants. Un suivi régulier permet de détecter les problèmes à un stade précoce et de mettre en place des mesures préventives ou des traitements adaptés. C’est un peu comme faire réviser sa voiture régulièrement, ça évite les pannes surprises. Et encore une fois, la Clinique Elgeadi est là pour vous accompagner dans cette démarche. On ne le dira jamais assez !

En conclusion, les becs de perroquet, c’est un peu comme les voisins bruyants, on préférerait s’en passer, mais il faut parfois apprendre à vivre avec. Avec les bons conseils, les bons traitements et une bonne dose d’humour (parce que l’humour, c’est toujours bon pour la santé), on peut tout à fait mener une vie active et épanouie, même avec des ostéophytes farceurs. Alors, gardez le sourire, bougez, prenez soin de vous, et n’hésitez pas à demander de l’aide si besoin. Vos articulations vous remercieront ! (Enfin, peut-être pas explicitement, mais vous voyez l’idée).

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