Est-ce que le Chateaubriand est le même que le Beef Wellington ? Spoiler alert : Non !
Alors, vous avez probablement entendu parler du Chateaubriand et du Beef Wellington, ces deux plats qui font fantasmer les gourmets. Mais confondre les deux, c’est un peu comme mélanger un bon vin avec du jus d’orange. Ça peut faire des merveilles pour un brunch, mais côté gastronomie, c’est une autre histoire ! Alors, plongeons ensemble dans ce mystère culinaire.
1. Beef Wellington vs. Chateaubriand
Le Beef Wellington est une version glamour du Chateaubriand ! En fait, il utilise exactement ce morceau de viande. Oui, c’est un peu comme si vous preniez une Ferrari et que vous lui mettiez un tapis magique, mais restez avec moi. Le Chateaubriand, c’est le centre du filet de bœuf, et le Beef Wellington frime avec ce cœur tendre !
Alors, qu’est-ce que le Beef Wellington ? Imaginez un filet mignon, ou mieux encore, un chateaubriand qui se met sur son 31. Il est généreusement badigeonné de moutarde anglaise, entouré d’une duxelles de champignons savoureuse, enveloppé dans le prosciutto et enfin, tout ça est lové dans une pâte feuilletée croustillante. Oui, on fait dans le chic !
2. Les ingrédients du Beef Wellington
Si vous pensez à faire le Beef Wellington chez vous, préparez-vous à faire le tour des supermarchés. Voici ce qu’il vous faut :
- 1 chateaubriand (le centre du filet de bœuf, bien sûr)
- Holy Cow seasoning (pour que votre viande ne ressemble pas à du carton)
- 1,5 lb de champignons (tous types, mais les baby bellas sont top !)
- 3 échalotes, hachées (les pleurs sont optionnels)
- 4 gousses d’ail, hachées
- 2 T de moutarde anglaise
- 8-10 tranches de prosciutto (ou jambon de Parme, parce que le chic a son prix !)
- 1 lb de pâte feuilletée
- 6 jaunes d’œufs (pour donner de la brillance… et pour le cœur, peut-être)
- 1 t de sel casher
- 2 t d’huile d’olive
3. Préparation du Beef Wellington
Bon, maintenant, la partie où vous vous transformez en chef cuisinier. La première étape ? Assaisonnez le chateaubriand avec le Holy Cow. Accrochez-vous, ça va sentir bon ! Saisissez-le dans une poêle chaude – voilà, ça grésille déjà !
Ensuite, préparez la duxelles. Finement hachez les champignons, faites revenir les échalotes et l’ail, puis ajoutez les champignons jusqu’à ce que l’humidité s’évapore. Une vraie symphonie en cuisine ! Laissez refroidir, parce qu’ensuite, il faut l’envelopper.
Disposez vos tranches de prosciutto en formant un rectangle, étalez la duxelles, puis placez le chateaubriand au centre. Emballez-le en boudin avec du film plastique et mettez au frigo. On veut que tout reste bien compact !
4. Envelopper le Wellington dans la pâte feuilletée
Ensuite, étalez votre pâte jusqu’à une épaisseur de 1/4″. Otez le film plastique du boudin et placez-le au centre. Badigeonnez l’intérieur avec l’œuf battu, car on veut se marier de manière croustillante ! Enveloppez, scellez les bords et mettez au frigo pour une petite pause bien méritée.
Si vous êtes audacieux, vous pouvez même faire un design en treillis avec la pâte feuilletée. Mais n’oubliez pas de badigeonner avec un œuf battu pour donner un éclat doré. Mettez au four préchauffé à 400 degrés.
5. Cuisson du Beef Wellington
Quand arrive le grand moment, vous allez cuire jusqu’à atteindre 125 degrés Fahrenheit à l’intérieur. Ne vous excitez pas trop, il finira de cuire pour atteindre le medium-rare à 130 degrés. Eh oui, la patience est une vertu !
Après cela, laissez-le reposer pendant 10-15 minutes. C’est le moment idéal pour dramatiser un peu. Un bon plat mérite d’être admiré avant d’être dévoré !
6. Comment servir son Beef Wellington
Tranchez avec soin et admirez ce chef-d’œuvre. Vous allez ressentir une vague de fierté mêlée à un statisme absolu lorsque vos invités admireront votre œuvre d’art culinaire. Chaque bouchée sera une révélation.
Conclusion
Alors, le verdict ? Le Chateaubriand et le Beef Wellington sont deux choses différentes, mais leur union est un vrai mariage réussi ! Savoir comment cuisiner un Beef Wellington est un vrai atout en cuisine, et en le servant, vous deviendrez le roi de la fête ! Alors, n’hésitez pas à mettre les tabliers et à épater vos invités ! Qui sait, vous pourriez bien être le prochain grand chef, du moins à vos propres yeux !