Pourquoi la chanson Creep a-t-elle été interdite ?
Ah, Creep de Radiohead, le morceau qui a fait chavirer les cœurs et les âmes ! Mais saviez-vous qu’il a aussi zigouillé son chemin vers la censure ? Mettons nos chapeaux d’explorateurs et découvrons pourquoi cette mélodie mélancolique a été bannie des ondes.
- Raisons de l’interdiction :
- Sortie en 1992, Creep a été classée comme trop déprimante ! Oui, vous m’avez bien entendu. Peut-être que les chefs de la station radio avaient besoin d’un peu plus de lumière et d’un bon café ! En plus, la chanson grippe le cœur avec un gros mot qui, à l’époque, était un tabou à la BBC. La censure a frappé avec l’élégance d’un éléphant dans un magasin de porcelaine.
- Version alternative :
- Pour contrecarrer cette mission de ban, le groupe a enregistré une version alternative où ils ont remplacé le « mot qui fait peur » par « très ». Qui aurait cru que remplacer un mot vulgaire par un adverbe pouvait tout changer ? « Très déprimant », c’est nettement mieux, non ?
- Réception initiale :
- La chanson, au départ, ne pouvait pas vraiment se faire une place au soleil – à cause de son ambiance lugubre. Pourtant, il semble que la mélancolie ait son propre fan club. Oui, même s’il ne l’a pas vu au départ !
- Réédition et succès :
- Avez-vous déjà entendu parler du deuxième round ? En 1993, Creep a été réédité et a grimpé tout en douceur dans les classements, atteignant la septième place au Royaume-Uni. Un vrai phoenix qui renaît des cendres !
Le côté sombre de la mélancolie
La mélancolie, c’est un peu comme cet ami dont vous ne savez jamais quoi faire. Parfois, on veut le soutenir, et parfois on souhaite juste lui dire de retourner chez lui ! Creep est l’hymne parfait pour les moments où on se sent un peu à côté de ses pompes, n’est-ce pas ? Son refrain accrocheur transmet tellement d’émotions qu’il pourrait remplir une bibliothèque entière de poèmes.
Mais attendez ! N’oublions pas la censure. La chanson a renvoyé à la maison des auditeurs en quête de quelque chose de plus léger. Les radiodiffuseurs discutaient sans fin de l’impact émotionnel sur leur public. Un peu trop triste, un peu trop profond, tout cela les a fait fuir. Peut-être qu’ils craignaient de devoir fournir des mouchoirs aux auditeurs en larmes !
Il faut dire que Radiohead a toujours eu une manière particulière de s’attaquer à des thèmes existentiels. Mais est-ce que cela devait signifier que leurs œuvres n’étaient pas dignes d’être diffusées ? L’utilisation de gros mots dans la musique est aussi ancienne que l’âge de la guitare. On pourrait dire qu’on a peur de quelque chose qui pourrait faire froncer les sourcils des mamans.
Faisons un clin d’œil à l’art des alternatives
Le fait idiot ici ? En remplaçant un mot par « très », Radiohead a peut-être écrit l’un des plus malheureux tours de magie de l’histoire musicale. Mais cela a fonctionné ! Lors de la réédition, des milliers d’auditeurs se sont plongés dans le titre et se sont finalement identifiés à cette tristesse, à ce sentiment de ne pas appartenir. Qui aurait cru qu’un simple mot pouvait faire une telle différence ?
Notes sur la célébrité tardive
Creep est aussi un excellent exemple d’une histoire de célébrité tardive. Souvent, dans la musique, les premiers pas peuvent être maladroits. Une chanson qui a d’abord reçu des critiques sur son pessimisme est devenue un classique culte. Qui l’eût cru ? Avec le temps, la mélancolie a été accueillie avec des bras ouverts par des générations entières. C’est un peu comme si on avait finalement ouvert le placard pour les vieux souvenirs et qu’on avait décidé de les embrasser !
En fin de compte, Creep nous rappelle que parfois, même les chansons les plus sombres peuvent trouver leur place au soleil. Qui a besoin d’une surexcitation permanente quand on peut savourer la douceur d’un bon vieux désespoir ? L’essentiel est qu’il reste des voix qui peuvent s’accorder avec notre tristesse. Et si jamais une chanson doit être censurée, faisons juste en sorte que ce ne soit pas celle-là, d’accord ?